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![]() ![]() ![]() ![]() Il y
a des hommes qui choisissent les sentiers faciles, et d'autres qui décident de marcher
seuls sur les chemins escarpés. Karim Zeribi
appartient à cette seconde race : celle qui préfère l'orage à la compromission,
le feu des projecteurs hostiles à la tiédeur des applaudissements convenus.
Sur les plateaux de télévision française, il avance tel un gladiateur dans l'arène. Face à lui, des voix grondent, des regards méprisent, des discours nourris de haine et d'anti-algérianisme se déchaînent. Mais lui reste droit, ferme, ancré dans la conviction que la vérité n'a pas besoin de se travestir. Là où beaucoup se seraient tus pour préserver une carrière, il répond, argumente, affronte. Non par goût du combat, mais par sens du devoir. Né dans une famille modeste aux origines algériennes, Karim Zeribi grandit dans les quartiers populaires de France, un terreau fertile de talents mais aussi d'injustices. Dès son jeune âge, il prend conscience des inégalités et du poids des préjugés qui pèsent sur les enfants issus de l'immigration. Plutôt que de se laisser broyer par ce contexte difficile, il forge sa personnalité dans l'engagement social et politique, convaincu que seule l'action peut ouvrir des voies nouvelles. Étudiant brillant mais souvent marginalisé, il intègre les cercles militants où il apprend le combat démocratique et la solidarité. Son parcours professionnel est aussi marqué par cette volonté d'action et de justice. Il commence dans le secteur associatif, où il œuvre pour l'insertion des jeunes et la lutte contre les discriminations. Rapidement, il s'impose comme une voix forte, capable de porter les préoccupations des communautés invisibilisées sur la scène publique. Grâce à son charisme et à sa détermination, il accède à des responsabilités politiques locales, toujours au service des populations qu'il connaît si bien. Mais Karim Zeribi n'est pas seulement un homme de confrontation. Il est aussi un passeur, un bâtisseur de ponts. Là où d'autres exploitent la division, lui rêve d'unité. Là où certains se complaisent dans la diffamation et l'invective, il veut organiser la diaspora algérienne, cette force vive éclatée aux quatre coins du monde, pour en faire un trait d'union solide entre Alger et Paris. Pour lui, l'avenir ne réside pas dans la fracture mais dans l'amitié, non dans l'oubli mais dans la mémoire partagée, non dans le ressentiment mais dans le respect. Le rôle que Karim Zeribi joue dans la construction de ce pont entre la France et l'Algérie dépasse la simple figure politique. Par ses actions au sein des associations et sa capacité à fédérer une diaspora souvent fragmentée, il incarne un espoir tangible. Il croit fermement que l'émancipation et la reconnaissance de la communauté algérienne en France passent par l'organisation collective, la promotion du dialogue interculturel et la valorisation des racines. Ses initiatives rassemblent les talents, encouragent les échanges économiques et culturels, et participent à une meilleure compréhension mutuelle entre les deux rives de la Méditerranée. Là où d'autres s'installent dans la critique stérile, lui construit. Là où d'autres se contentent de dénoncer dans l'ombre, lui s'expose en pleine lumière. Ses adversaires le traitent de tous les noms, ses contempteurs lui prêtent mille intentions, mais personne ne peut lui enlever cette qualité rare : le courage de dire haut ce que beaucoup murmurent bas. Karim Zeribi, c'est ce rameur qui ne se laisse pas happer par le courant, mais qui fend les eaux tumultueuses de la politique et du débat public. C'est ce marin qui, dans la tempête médiatique, garde le cap et refuse de jeter l'ancre de la facilité. C'est ce chêne enraciné, qui ploie sous les vents de la polémique, mais ne casse jamais. À ceux qui, tapis dans l'ombre, cassent les bonnes volontés et se nourrissent de jalousie, il oppose l'action. À l'hypocrisie, il oppose la sincérité de son engagement. À la peur, il oppose la franchise. Et à l'oubli, il oppose la mémoire d'un peuple qui refuse de s'incliner. L'histoire retiendra peut-être ses coups d'éclat, ses débats tendus, ses affrontements publics. Mais au-delà de l'image, Karim Zeribi demeure avant tout un symbole : celui d'un homme qui refuse de plier, qui ne recule pas devant la meute, et qui, par fidélité à ses principes, accepte d'avancer seul si nécessaire. |
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