Dans le cadre des préparatifs de la journée d'étude sur la situation du quartier Sidi El Houari, berceau historique de la ville, le wali d'Oran, Samir Chibani, a présidé dimanche une réunion de travail. En ouverture de la rencontre, le directeur du Centre de recherche en anthropologie sociale et culturelle (CRASC) a présenté une approche nationale intitulée «Oran, un modèle», mettant en lumière les enjeux urbains et patrimoniaux du quartier Sidi El Houari, véritable témoin du passé oranais. Le wali a souligné l'importance d'une concertation élargie entre les différents intervenants : représentants de l'Etat, bureaux d'études, experts, institutions publiques et associations locales. L'objectif : aboutir à une vision claire et partagée, capable d'éclairer l'opinion publique sur l'avenir de ce quartier emblématique. Autour de la table, plusieurs acteurs institutionnels et experts : le directeur du Centre de recherche en anthropologie sociale et culturelle (CRASC), des chercheurs universitaires, ainsi que les responsables de l'administration locale, de la culture, de l'urbanisme, du logement, de l'environnement et de la protection civile.