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![]() ![]() ![]() ![]() Quelques éléments relevés ces derniers jours dénotent que le projet
sportif de Hadj Hasnaoui Okacha
qui, au départ, fut très bien accueilli, bute sur des résistances aux
changements annoncées publiquement lors de la grande rencontre publique
organisée au mois de mai, où ce dernier avait parlé « d'assainissement total de
l'administration du club ». Certes, sur le plan des résultats, l'USMBA s'est
inclinée à deux reprises, face à l'ESS, puis à domicile contre Médéa, mais ce
n'est que le début du championnat. Par contre, on doit relever une nette
amélioration organisationnelle de l'entrée au stade 24 Février, contrairement à
ce qui s'est passé lors du match amical international face au TP Mazembe. Selon le comité des supporters, cet acte en
question « était prémédité comme une réaction à une menace d'intérêts ». Il
faut rappeler que l'affaire de la vente au marché noir des tickets de la finale
de coupe d'Algérie USMBA-JSK n'a pas connu de suite à ce jour, restant encore
impunie. La volonté des nouveaux dirigeants bute sur de multiples aléas que
nous ne pouvons tous énumérer. La déclaration aux médias de l'ex-milieu de
terrain Sidhoum Ilyes
(actuellement à l'ESS) revendiquant ses arriérés, suivie de la
non-disponibilité de deux licences de Tabti et Achour
à la veille du premier match contre l'ESS, ont compliqué la situation aux
nouveaux gestionnaires, chargés de traduire sur le terrain le projet sportif
établi par Hadj Hasnaoui Okacha,
qui s'inscrit, doit-on le préciser, dans la durée. Il faut remettre de l'ordre
par l'assainissement des volets administratif et financier, et effacer
définitivement les affres des gestions chaotiques cumulées depuis l'avènement
du professionnalisme. A ce jour, trois cadres ont décidé de se retirer. Le
premier a préféré partir en assurant, il faut le mentionner, l'engagement du
club dans un contexte très difficile. Aujourd'hui, l'USMBA a besoin d'une
véritable union sacrée selon ses fidèles et fervents supporters.
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