Avec fierté, orgueil et vanité, il clame, je suis un génie parce que dit-il avec hauteur : « j'ai réussi à cumuler l'une des fortunes les plus importantes au monde, j'ai arraché la présidence des Etats-Unis d'Amérique des mains des démocrates au moment où personne ne me donnait la moindre chance ; ceci n'est-il pas un exploit en soi ? Un malade mental, un névrosé, un psychopathe peut-il réussir ces hauts faits semble-t-il dire ?

Ces prouesses ne s'arrêtent pas là. Dès son investiture, il réussit à faire main basse sur une véritable fortune gracieusement offerte par la royauté saoudienne se chiffrant par centaines de milliards de dollars. Prendre de l'argent à volonté ne suffit pas, il lui faut d'avantage. El Qods doit revenir aux sionistes et c'est ce qu'il obtint, grâce aux compromissions indignes, auprès des pays qu'il protège. Ces derniers, pour avoir le droit d'être, sacrifient l'une des causes les plus sacrées aux yeux des musulmans.

Trump remet en cause tous les accords importants contractés avec le reste du monde par ces prédécesseurs qu'il semble traiter d'incompétents. Il veut revoir l'accord sur le nucléaire iranien qui a nécessité des années de négociation entre la communauté mondiale et ce pays contre lequel il renforce les sanctions pour étouffer son peuple qu'il veut réduire à la misère et forcer à faire son printemps dévastateur qui a déjà ruiné tant de pays. Et comment non, puisque l'Iran représente un danger pour le pays de son gendre qu'est l'entité sioniste.

Il s'acharne sur la Corée du Nord qu'il veut empêcher, à tout prix, de développer d'avantage l'arme nucléaire et de se doter de fusées balistiques intercontinentales plus sophistiquées en lui promettant l'enfer s'il ne se pliait pas à ces exigences, même si pour cela il devait provoquer une guerre nucléaire. Quoi d'étonnant, son pays n'est-il pas la seule puissance à avoir commis cette infamie contre le peuple japonais qu'il n'arrivait pas à défaire par les armes conventionnelles ? Et n'a-t-il pas anéanti le peuple indien pour le remplacer et prendre sa place ? Un peuple de plus ou de moins ne compte pas.

On découvre, de jour en jour, ses relents racistes et esclavagistes qui se révèlent au monde. Il traite les peuples africains et le peuple haïtien de pays de merde et les décrit avec des expressions plus dégradantes, les unes que les autres, que seul un malade peut exprimer. Donald Trump avait assuré lors d'une de ses interventions, également, que les Haïtiens avaient, tous, le sida.

Plus encore, au moment où le monde détruit les murs entre les peuples, il escompte, lui, en construire un entre le Mexique et son pays pour empêcher tout contact avec ce peuple qu'il traite de tous les maux et qu'il semble mépriser plus que tout. Et en fait, aime-t-il quelqu'un d'autre que lui-même et les sionistes à qui il veut offrir ce qui ne lui appartient pas, le bien le plus précieux des peuples musulmans, la ville des Lieux Saints ?

Le traité sur le réchauffement de la planète dont l'importance est vitale pour l'existence de l'Humanité est, lui aussi, jeté à la poubelle même si pour cela il devait s'aliéner les Européens, alliés les plus fidèles de son pays. Tout ce qui compte aux yeux de ce pyromane c'est son intérêt qu'il doit garantir et encaisser maintenant, son égo qu'il doit satisfaire instamment ! Les générations à venir il n'en a cure.

Est-ce faire si peu cas de tous et de tout le monde est un signe d'intelligence hors normes ? Je laisserai les spécialistes en psychiatrie répondre à cette question. Toutefois, il faut rappeler que tout en acceptant de passer des visites médicales pour déterminer son état de santé, il refuse de se soumettre à un examen psychiatrique. Pourquoi ??!!....

Dans le livre polémique « Le Feu et la Fureur » de Michael Wolff, sur la Maison-Blanche et qui traite des coulisses de l'administration Trump, paru dans Les éditions Robert Laffont, il y a quelques jours et que le président de la première puissance mondiale a tout fait pour l'empêcher de paraître, révèle que Donald Trump était raillé par ses propres collaborateurs pour son incompétence et son incapacité à diriger. Le pouvoir de Donald Trump, durant une année de règne, est qualifié d'année marquée par un « chaos » permanent.

Donald Trump serait paranoïaque. Il aurait interdit au personnel de ménage de toucher les objets dans sa chambre, en particulier sa brosse à dents, car il redouterait d'être victime d'un empoisonnement, révèle-t-on. Raillé pour sa coupe de cheveux pendant la campagne, Donald Trump avait laissé plusieurs personnes lui tirer les cheveux pour prouver qu'il ne portait pas de perruque. Tels sont quelques traits de caractère soulevés par le livre polémique.

Les propos du président américain relatifs à Haïti et aux pays africains ont soulevé un véritable tollé, dans le monde entier et ont été qualifiés de « remarques scandaleuses, racistes et xénophobes ». Les représentants des pays africains à l'Onu qui se sont réunis, exigent des excuses de la part de Trump, tout en s'inquiétant de « la tendance continue et grandissante de l'administration américaine, à dénigrer le continent africain et les gens de couleur ». Jack Lang, le président de l'Institut du monde arabe a qualifié Donald Trump de ?Président de Merde' qui ne sait qu'insulter les autres et d'ajouter qu'il était « un personnage humiliant et offensant ».

Après tous ces exploits, toutes ces frasques et ces inepties, Donald J Trump est-il à considérer comme étant sain de corps et d'esprit ou comme le qualifient certains, est-il tout simplement, à la fois, un enfant gâté et un vieillard gâteux Imbu de sa petite personne et qu'il ne mérite pas de gouverner un pays de l'importance des Etats-Unis dont la responsabilité à la sauvegarde de la paix mondiale est plus qu'évidente.

Personnellement, je pencherais pour tout avis qui va dans le sens de l'écart de ce malade mental et vaniteux personnage qui ne peut être que dangereux pour la paix mondiale, en risquant d'y mettre le feu, tel un pyromane languissant. Qu'on le renvoie chez lui jouir de ses milliards, si génialement amassés et qu'il nous épargne cette tignasse que nous ne saurions voir !