Après avoir savoureusement partagé le monde, que sa partie sud se rebiffe désormais et que la conscience collective s'éveille en occident, le camp dominant et dominateur faiblit et doute de lui-même. Ce qui n'est pas en soi une mauvaise chose. Comme un computer, l'humanité opère sa mise à jour et se libère de déchets qui jusqu'à présent étaient les vrais marqueurs de l'ordre du monde et du discours politique convenu. La France s'enfonce hélas et les sans-dents comme les appelait honteusement l'autre sont dans la rue pour bloquer cette machine qui les broie et leur hôte désormais le pain de la bouche. Le chaos s'installe et le terme n'est pas exagéré puisque les institutions qui ont jusque-là porté la 5éme république se fragilisent et risquent de rompre à tout moment.

Le fracture sociale qui sépare les plus riches des plus pauvres s'élargit et construit le lit que squatte l'extrême droite. Les français semblent vouloir le départ d'une classe politique qu'ils proclament corrompue et qui est à l'origine du déclin de l'hexagone. La rue ne se contente plus de la chute d'un gouvernement mais exige le départ immédiat du chef de l'état lui-même. La messe est, semble-t-il, déjà dite et tout nouveau gouvernement est promis à subir l'épreuve de la destitution.

Oui c'est le triste spectacle d'un pays qui part en vrille. Un pays ou les nouveaux maîtres sont maintenant de piteux journalistes s'érigeant en juges, parlementaires et, espèrent-ils, faiseurs de rois. Mais il n'ensera rien.

N'a-t-on pas entendu récemment l'islamophobe Barbara Lefèvre déclarait J'appartiens à la classe moyenne, je touche 2700 balles et le plus que je gagne en faisant des piges chez C... je le mets de côté. Rien que cela.

Nous avons en réalité affaire à des êtres obéissant à leur maître et qui n'oseraient bien entendu jamais ni cracher dans la gamelle ni mordre la main qui les nourrit.

Mais la France n'est pas le seul pays en crise, d'autres pays européens le sont aussi ou le seront bientôt. Les Etats-Unis risquent aussi et sans le savoir de succomber eux à une implosion dont les signes précurseurs sont déjà là, les assassinats politiques récurrents et de plus en plus nombreux qui s'y produisent. La mort brutale de Charlie Kirk, l'un des fans les plus fidèles du Président Trump, infatigable militant de l'extrême droite et non moins célèbre suprématiste blanc sonnera-t-elle le glas d'un Président qui découvre désormais les limites de la puissance qu'il pensait détenir ? Surtout que même le criminel Netanyahou continue de le snober, d'agir sans l'informer et de violer le droit international comme si de rien n'était.

Oui, un droit international que doivent scrupuleusement respecter les plus faibles mais que peuvent ignorer les plus forts. Mais cela semble aussi se rompre.

Le monde obéitdésormais à la loi du plus fort et puisqu'il en est ainsi et que nous vivons dans la jungle, l'opportunité est ainsi offerte à tous ceux qui veulent la saisir pour espérer se libérer de l'emprise des puissants, refuser l'ordre ancien qui abdique et échapper au chaos qui vient. Le Qatar, cet émirat qui ne voulait que juste vivre tranquille, découvre brutalement qu'avec l'entité sioniste il ne peut exister de compromis durable. D'autres pays qui brandissaient fièrement leur étendard de normalisateurs découvriront bientôtque même les compromissions les plus abjectes ne protègent pas des exactions d'une entité sioniste qui ne connait que les rapports de force et qui crache chaque jour que Dieu fait sur le droit international et sur l'humanité toute entière.

Oui, ils ne partageront plus le monde ... Les puissants s'affaiblissent parce qu'ilsne peuvent plus produire de nouvelles élites qui porteront leur puissance empêtrésqu'ils sont dans des débatssociétauxsouvent inspirés par les officines satanistesqui les dirigent. Et puis il y a les autres, ceux quicontestent l'ordre ancien, émergent pour certains d'entre eux et réécrivent avec patience et assiduité la nouvelle architecture des relations internationales.

La guerre n'est plus seulement qu'un spectre mais est désormais une réalité qui peut embrasertoute la planète. Et la guerre ne fait peur qu'aux injustes, les justes la font, l'assument et souvent dans l'usure et que le bourbier s'installe la gagnent. Oui, le chaos està nos portes parce que les adeptes de satan sont trop souvent aux manettes. La crise politique française est structurelle. Elle sera comme ce premier domino qui tombe et qui entraine la série dans sa chute mais qui aura aussi ses effets fondateurs. Le sud de la planète contemple ce spectacle affligeant plus que jamais convaincu que l'ordre du monde doit impérativement changer et quelle meilleure opportunité offerte que la chute imminente de l'Empire pour en accélérer le rythme et la cadence !