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Les f et les e 10 ou la théorie du 100ème singe

par Mimi Massiva

«L'Histoire n'est au fond qu'un eternel recommencement. Les hommes, les sociétés répètent inlassablement les mêmes errements, succombent aux mêmes tentations et s'inventent les mêmes souffrances. Le Moyen-âge a connu le despotisme des clercs et l'Inquisition. Notre époque a, semble-t-il, généré des institutions dogmatiques, corporatistes ou autocratiques pour soumettre toutes plantes, bêtes et hommes à la suprématie de la Science. Une science de « droit divin » avec ses icônes et sa liturgie, étroitement imbriquée dans les forces politiques et économiques en place. Dans les deux cas, le mécanisme du pouvoir est simple : il utilise la peur pour mieux asseoir sa domination. Y compris la peur du ridicule savamment entretenue dans les foules, par ceux qui font profession de Savoir ! Il suffit d'évoquer « la preuve sociale» qui consiste à dire qu'une chose est juste quand le plus grand nombre y croit...et ça marche ! (1)

«L'empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d'empire et moins de santé», titre d'un article de deux journalistes américains : (2)

«Derrière un voile de relations publiques menée par les médias, la Fondation Gates a servi de véhicule au capital occidental tout en exploitant les pays du Sud comme laboratoire humain. La pandémie... va probablement intensifier ce programme inquiétant... L'abandon de l'OMS par les Etats-Unis... donnera à l'empire international de cette ONG une influence sans précédent... Gates a acquis un simili-statut de héros pendant la pandémie. Le Washington Post l'a qualifié de « champion des solutions fondées sur la science », tandis que le New York Times l'a déclaré... « L'homme le plus intéressant du monde», Gates est également la vedette d'une série... à succès de Netflix « Pandémie»... produite par une correspondante du New York Times, Sheri Fink qui avait travaillé dans 3 organisations financées par Gates... » Remarquons que la générosité de Gates n'a pas de frontière. En France, Le Monde le désigne carrément comme le « Médecin du monde » et c'est la presse française qui nous révèle les dessous du diagnostic : « Comme toute la presse, Le Monde est gorgé de subventions publiques et d'aides apportées par Facebook. Mais...le quotidien perçoit aussi des subsistes de la Fondation Gates : 2,1 millions de dollars en 2019. »(3) Signalons que le journal, comme tant d'autres poids lourds, appartient à un milliardaire. Si on ne prête qu'aux riches, c'est à eux que va la charité publique. Forcément, ils sont plus crédibles et plus croyants à l'Argent-dieu.

Toujours d'après les auteurs de l'article : « La Fondation Gates a déjà privatisé l'organisme international chargé de créer la politique de la santé, le transformant en véhicule de domination des entreprises privées. Elle a facilité le déversement de produits toxiques sur les populations du Sud, et a même utilisé les pauvres du monde comme cobayes pour des expériences sur les médicaments. » Gates est bien dans notre santé, mais en bonne compagnie. Les megamilliardaires, de moins en moins nombreux et de plus en plus riches, investissent dans le « club ». Et vice-versa, Mr Vaccin possède des actions de son pote Monsanto. Et comme ce dernier a les cartes du ciel, on retrouve Gates dans les chemtrails.(4). « Bill Gates, enfin révélé coupable de l'épandage de chemtrails partout sur le Globe»(5) On lui reproche d'épandre des particules de sulfates toxiques qui vont détruire la planète plus vite que «le réchauffement climatique »D'après un rapport de l'université de Washington, ces particules contribuent à des pluies acides qui irritent les poumons, le lieu favori du Covid19 . Ajoutons le blocage du soleil d'où privation de la vitamine D et multiplication de l'asthme, la pollution des sources d'eau, du sol etc. Tout ce qui booste à l'envers le système immunitaire. Quand les Marocaines questionnent le Pr Henri Joyeux au sujet de la vitamine D, il réplique : « Vous avez la chance d'avoir le soleil 365 jours par an. » Il fut un temps où il pouvait dire autant de l'Algérie puisque son épouse est une ex pied-noir. Le Prix international du cancer affirme qu'il sait comment on attrape un cancer et comment on en guérit. Il ne donne aucun médicament de BigPharma même pas celui à plus de 2 millions de dollars. Il se contente de recommander la cuisine de sa femme. Ce fameux régime méditerranéen que l'Algérie a délaissé depuis que la Régence a changé de dépendance. Il faut dire que dans tous les domaines, on ne fait rien à moitié. Résultat ça passe et ça casse. Notamment depuis que l'Ogre impérial est devenu adulte ... « A cause de la Fondation Gates, j'ai vu la souveraineté de gouvernement après gouvernement chuté », déclaration du Dr Vandana Shiva, fondatrice de la Fondation de recherche pour la science, la technologie et l'écologie basée en Inde, au journal Grayzone. En résumé, la Fondation Gates est la plus grande sur Terre avec plus de 51 milliards de dollars d'actifs à la fin de 2019. Ce qui explique que les grands medias déroulent le tapis volant quand le génie des 1001 calamités s'invite. Pour le seul mois d'avril, il trône sur les plateaux de CNN, CNBC , Fox, PBS, BBC, CBS, MSNBC, The Daily Show. Sur BBC, Gates se présente comme expert de la santé. Quant à son épouse sur CNN, elle a « déploré être « tenue réveillée la nuit » par son inquiétude pour les populations vulnérables en Afrique et leur manque de préparation face à ce virus. »

Avis à tous les Africains ingrats, il faut sauver sainte Melinda Gates en vaccinant fissa la tribu, la smala et tous les animaux en attente de safari afin que lui revienne le sommeil et le doux rêve d'une Afrique sans Africains. Passons. Avant que Trump ne décide de se retirer de l'OMS, la Fondation Gates et sa créature GAVI (Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination) représentaient la principale source financière. Ce qui fait dire à la sociologue Allison Katz qui a travaillé 18 ans au siège de l'OMS que cette dernière « est devenue une victime de la mondialisation néolibérale. » C'est la règle, qui paie décide. C'est ainsi qu'en 2012, l'OMS a décidé d'adopter un « Plan mondial pour les vaccins »Et comme certains l'ont dit « les priorités de Gates sont devenues ceux de l'OMS »Au point où un responsable d'une grande ONG, dans une interview avec Global Health Watch dit : « Les gens de l'OMS semblent être devenus fous. C'est « oui monsieur », oui monsieur », pour Gates sur tous les sujets. »...La situation s'est aggravée depuis que Tedros Adhamom est devenu directeur général de l'OMS en 2017. Signalons que Tedros (qui n'est pas docteur en médecine) était membre du conseil d'administration de deux organisations fondées par Gates (GAVI et le Global Fund). Résultat, Tedros tweete régulièrement pour que les 7 milliards de malades n'oublient pas de remercier le ciel d'avoir créé Gates. Les auteurs n'oublient pas le « Sage », principal groupe consultatif de l'OMS pour les vaccins. C'est un conseil de 15 personnes... dont la moitié a des conflits d'intérêts avec le « messie ». Une analyse de 23 partenaires mondiaux pour la santé, en 2017, a révélé que 7 dépendaient financièrement à 100 % de la Fondation. 9 ont désigné cette dernière comme principal donatrice. Pour le Dr Shiva, le FMI et la BM (banque mondiale) sont des nains en comparaison à la Fondation Gates. (6) Pour consolider l'Empire, la Fondation n'hésite pas à faire des dons par millions à de grands medias dont NPR , PBS, ABC, la BBC, Al Jazeera, le Daily Telegraph, le Financial Times, Univision et le Guardian...D'autres millions pour la formation de journalistes et autres zones d'influence. Selon un responsable de NewsHour, « il n'y a pas grand-chose que vous pourriez aborder en matière de santé mondiale, de nos jours, qui n'aurait pas une sorte de tentacule de Gates. »(7) Quelle ingratitude au moment où NewsHour recevait plus de 3 millions de dollars de la part de la Fondation. Sans parler de l'impact des sociétés de relations publiques, de subventions et donations de professeurs... Selon Mickey Huff : « En bref...il n'est pas étonnant que la couverture médiatique de la Fondation soit si positive dans les médias grand public ou que ses activités les plus louches dans les pays du Sud soient si méconnues.»(8). Pour Huff, Gates n'a rien à apprendre d'un Edward Bernays « le père des relations publiques » et expert dans la manipulation de l'opinion publique

«Un poids, deux mesures mortelles»

Les auteurs notent que depuis 20 ans Gates se fait missionnaire pour l'élaboration de politiques de santé mondiales pour les pays pauvres, principalement en Afrique et en Asie du Sud. Les pays d'Asie du Sud sont : l'Afghanistan, Bangladesh, Bhoutan, l'Inde, Maldives, Népal, Pakistan et le Sri Lanka. On l'a compris, à l'exception de l'Inde qui est un pays fort et en mesure de faire des procès à Mr Vaccin, les autres, en particulier ceux de l'Afrique sont trop faibles, trop divisés et vraiment esquintés par des systèmes scélérats qui se renforcent dans la durée...Les auteurs ajoutent : « Alors que la déclaration de mission de la fondation stipule, « nous voyons une valeur égale dans toutes les vies », une exploration de son histoire récente prouve le contraire. La Fondation semble considérer le Sud comme un dépotoir à traitements jugés trop dangereux pour le monde développé et un terrain d'essai pour les traitements qui ne sont pas encore jugés assez sûrs pour le monde développé. Le vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTC) est le « fleuron du programme africain de vaccination de Bill Gates et de l'OMS. » Il s'agit d'un lot de trois vaccins administrés à pratiquement tous les enfants du continent africain, mais qui n'est actuellement pas administré aux USA ni dans la plupart des autres pays développés. Dès 1977, une étude publiée par des professionnels de la médecine britannique dans le Lancet a établi les risques liés à l'injection de cellules entières de coqueluche. Après avoir rassemblé des preuves établissant un lien entre le médicament et des lésions cérébrales, des convulsions de type épileptique et même la mort, les USA et d'autres pays occidentaux l'ont progressivement abandonné dans les années 1990 et l'ont remplacé par une version plus sûre appelée (DTaP) qui ne contient pas la cellule entière de la coqueluche.

Cependant, les nations africaines sont toujours incitées financièrement à continuer d'utiliser le vaccin DTC, obsolète et dangereux, la GAVI faisant du DTC une priorité pour les enfants africains. ». L'étude a conclu que « les enfants africains mouraient plus des effets secondaires du vaccin DTC que les maladies qu'il permet de prévenir. » Des chercheurs ont noté qu'en Guinée-Bissau le taux de mortalité des garçons est 4 fois plus élevé (3,93) chez les vaccinés et que celui des filles est presque 10 fois supérieur à la normale (9,98). Et de remarquer que cela n'a pas empêché la Fondation Gates de dépenser des millions par an pour encourager le DTC auprès des systèmes de santé africains. Sans surprise, les médicaments contre la polio en Afrique sont différents avec ceux des pays occidentaux. La Fondation a dépensé plus d'un milliard pour diffuser le vaccin oral contre la polio (VOP) qui contient un virus vivant de la polio pour l'Afrique et l'Asie du Sud. En résumé le vaccin contre la polio peut donner la polio. En 2017, sur moins de 24 cas examinés par des chercheurs de l'université de Californie San Francisco et l'université de Tel-Aviv, le virus a repris du poil de la bête et à se « propager de lui-même » . Combien d'enfants, ces dernières années, ont été paralysés par le virus du VOP que de la polio normale. Ce qui fait dire à un Pr de microbiologie : « C'est en fait une énigme intéressante. L'outil même que vous utilisez pour l'éradication de la polio est à l'origine du problème. » (9) En 2000, les USA ont cessé d'utiliser le VOP pour passé au vaccin anti-polio inactif (VPI). On comprend mieux les propos du Dr Fauci quand il a promis au Congrès que le vaccin qui sera mis sur le marché américain sera « sûr et efficace ». Tout en précisant que « il peut y avoir différents vaccins pour différentes populations... » A chaque bled, son vaccin. Le plus troublant, c'est que ces contrées maudites arrivent à multiplier le nombre de leurs habitants soumis simultanément à deux fortes hémorragies : interne à cause des diverses calamités répétitives et externe, avec le sauve-qui peut de l'immigration domestiquée ou sauvage qui en découle... Les dernières épidémies de polio aux Philippines et au Congo sont dues au VOP. Idem pour les épidémies en Chine, Egypte, Haïti, Madagascar. (10) « Les dernières programmes de vaccination de masse contre la polio (en Inde) menés par la Fondation Gates ont entrainé une augmentation des cas (de polio)....»(11) Selon les médecins indiens, le VOP provoque aussi une autre maladie appelée paralysie flasque aigue (PFA). 490 000 enfants indiens en furent victimes entre 2000 et 2017. La PFA est « cliniquement indiscernable de la polio, mais deux fois plus mortelle...cela ressemble en fait à la polio, mais ce terme effraie les gens de la santé publique. »(12). Ce qui fait dire, en 2012, au British Medical Journal que l'éradication de la polio en Inde « a été réalisée en rebaptisant la maladie. » La Fondation Gates et l'OMS persévèrent sans état d'âme au Nigeria, au Pakistan, en Afghanistan. En Syrie, la GAVI a mis 25 millions de dollars pour vaccinés les enfants contre la polio en 2016. A peine, un an plus tard, l'OMS reconnaissait que la vaccination fut la cause de 58 enfants paralysés, des chanceux échappés aux bombardements de la coalition internationale. Idem pour l'Irak en guerre... Les auteurs concluent : « Malgré le consensus scientifique contre le VOP et l'opposition à de tels programmes dans les pays cibles, le VOP reste administré en Afrique, au Moyen-Orient et en Asie du Sud dans le cadre de programmes d' « aide » créant des bénéfices exceptionnels pour des géants pharmaceutiques qui n'auraient peut-être pas pu vendre leurs produits ailleurs. » On comprend pourquoi le Pr Raoult hésite à parler des vaccins et quand il est acculé, ses réponses sont celui de l'ignorant avalant sa langue: « je ne sais pas », « on ne sait pas ».

En bon élève d'Hegel, le Pr Raoult use de la « ruse de la raison » et l'avoue sans complexe. Celui du premier de la classe qui cède son tableau d'honneur au cancre psychopathe. Sage celui qui affirme qu'on ne défend pas une cause en mourant pour elle. Imaginons un moment, le coronavirus sans le Pr Raoult et sans Trump acquis au remède du Marseillais sans vraiment l'avouer. Dans le tard, et grâce à l'administration de Trump que le taux de mortalité du pauvre Covid19 est revu à la chute jusqu'à moins 90 % aux USA, Italie, l'Angleterre...D'après le journaliste de Radio-Quebec, Trump fait des réserves de la chloroquine tout en parlant du vaccin. Une ruse de guerre, d'après le commentateur qui nous précise que c'est l'armée us qui a mis Trump au pouvoir. On l'a compris, il parle du « misérable »corps pas de la tête donnée à l'argent. La bataille fait rage, la chloroquine de la populace contre le vaccin des Big Money dont les rejetons en sont préservés. En résumé si les chiffres sont faux, les morts et les fous sont bien réels, engendrés par le plus impitoyable des virus : la panique planifiée. Une façon de donner raison au Pr quand il dit c'est « une grippe comme une autre » et le « confinement est politique pas sanitaire. » En 2020, même les blouses blanches peuvent mourir d'épuisement, de dégoût, de peur et de tant d'autres choses « futiles ».

Notamment de suicide sans raison apparente. Une sorte de mort subite comme chez les nourrissons, une invention qui sied bien à BigPharma. Passons. La Fondation Gates ne se contente pas d'être pro-avortement, de mettre des fœtus avortés dans les vaccins, elle est dans les contraceptifs réversibles à longue durée d'action (LARC) notamment chez les femmes des pays pauvres, dixit Melinda Gates. « Un exemple est le Norplant, un implant contraceptif fabriqué par Schering (aujourd'hui Bayer)» qui peut empêcher une grossesse jusqu'à 5 ans...retiré du marché américain en 2002, après que plus de 50 000 femmes aient intenté des poursuites contre la firme et les médecins qui l'avaient prescrit. » Parmi ses effets secondaires que des bobos au féminin : « dépression, des nausées incoercibles, chute de cheveux, des kystes ovariens, des migraines et des saignements excessifs. » D'après un site web sur le développement humain nommé « Degress » financé par la Fondation Gates, le sexe faible n'a pas assez de muscles pour le Norplant qui, : « n'a jamais eu beaucoup d'attrait au niveau mondial » parce que l'insérer et le retirer « s'est avéré lourd.» Les auteurs précisent qu'il a été légèrement modifié et rebaptisé du doux nom de Jadelle. Et on l'a compris, direction l'Afrique sur les ailes de SuperGates avec la collaboration de l'USAID et EngenderHealth (ex Ligue de Stérilisation pour l'Amélioration de l'Homme). La mission de cette dernière c'est d'« améliorer le matériel génétique de la race humaine. » Rien que ça. Faut-il préciser que le Jadelle est interdit aux USA ou plus subtilement « n'est pas approuvé par la FDA. Il y a le Depo-Provera de Pfizer, contraceptif injectable, financé par Gates. En 2012, l'épouse Gates a promis de le fournir à au moins 120 millions de femmes. Prix entre 120 et 300 dollars par an. Pfizer a gagné entre « 14 et 36 milliards de dollars grâce à ce programme. »

Or le Depo- Provera, comme tout médicament réservé aux femmes du tiers-monde, n'est pas plus sûr que le Jadelle. Parmi ses effets secondaires, rien de mortel, que du banal africain : « caillots de sang dans les poumons, des cas de cécité et cancer du sein. »Le coupable c'est l'acétate de médroxyprogestérone (MPA), ingrédient actif du Depo-Provera. L'OMS, consciencieuse, avertit que le MPA ne doit pas être utilisée par des femmes souffrant de troubles rhumatismaux. Nous qui croyons que le rhumatisme c'est pour les vieilles qui n'ont pas besoin de pilule à avaler.... « En dépit d'une opposition générale au niveau national (USA) et de preuves de plus en plus nombreuses d'effets secondaires négatifs, la Fondation Gates continue de travailler avec l'USAID pour distribuer des médicaments comme le Depo-Provera. » S'ils ne travaillaient qu'avec les bleds pauvres, ils mettront plus de temps à s'enrichir. Et comme l'a dit le Population Research Institute : « La FDA exige que les femmes américaines soient informées..., mais les femmes africaines sont tenues dans l'ignorance. » Gates veut diminuer le nombre d'habitants sur la planète et n'est pas fichu de fabriquer un contraceptif qui marche avec tous ses milliards et son armada de scientifiques de renommée internationale. De là à espérer plus de chance avec un vaccin contre le coronavirus, il ne faut pas rêver sauf si la corruption s'unit à la kalachnikov. N'est pas Merlin l'Enchanteur qui veut. Merlin, prophète magicien doué pour les métamorphoses et pour commander aux éléments naturels et aux animaux. Le nain merlin du 21eme siècle n'est doué que pour cumuler les billets en papier et ne commande les éléments naturels et les animaux qu'à travers leur éradication. La malédiction de la Fondation s'étend aux drogues. Pour économiser l'argent et les procès, on teste chez les pauvres qui sont aussi privés de liberté d'approuver ou de refuser. Au moindre ouf, c'est la prison ou pire, le génocide rebaptisé en guerre civile. Infiniment plus efficace que tous les contraceptifs Gates... « On estime qu'environ 90 % des coûts de développement des médicaments sont engagés dans les essais de phase III (après I et II)...ces firmes peuvent contourner des coûts en menant les essais dans les pays dits « en développement». Cette stratégie... a été résumée par la société de conseil américaine McKinsey qui a suggéré d'inclure les « marchés émergents » dans les essais de médicaments afin de réduire « une importante perte de revenus. »... De 2009 à 2011, les essais cliniques de phase III du premier vaccin contre la malaria, financé par Gates et fabriqué par GSK ont eu lieu dans 7 pays africains (Ghana, Kenya, Malawi, Mozambique, Burkina Faso, Gabon et Tanzanie.... En 2011, les propres données de GSK ont montré que les enfants de sexe féminin mourraient (de causes diverses) à un taux de deux fois plus élevé à celui du groupe contrôle. Les enfants ayant reçu le vaccin présentaient également un risque de méningite 10 fois plus élevé que ceux qui n'avaient pas été vaccinés. » Un journal sud-africain s'est contenté d'écrire : « Nous sommes les cobayes des fabricants de médicaments. » « Pourtant l'OMS coordonne toujours l'administration du médicament à plus de 700 000 enfants au Ghana, au Kenya et au Malawi...Comme ce produit est administré aux enfants dans le cadre du programme de vaccination des pays, l'OMS affirme que le consentement est implicite...

La Fondation Gates a également financé des essais cliniques du vaccin contre le virus du papillome humain (VPK) fabriqué par GSK et Merck. Ces vaccins ont été administrés à 23 000 jeunes filles dans des provinces indiennes reculées...Selon le professeur Linsey McGoey de l'Université d'Essex , « la plupart des vaccins ont été administrés aux filles dans des ashrams pathshalas (internats pour enfants tribaux), contournant l'obligation de demander le consentements des parents pour les vaccins. » Et comme l'Inde n'est pas l'Afrique, la justice indienne a poursuivi Gates and Cie pour les dégâts. Au point de faire dire aux juges que les entreprises étrangères « traitent l'Inde comme un paradis pour leurs essais cliniques, cela s'avère un enfer pour l'Inde. »En sus, d'imposer des produits sataniques, pardon pour Satan, la Fondation « sabote » les systèmes de santé publics et l'accès aux soins. « Selon Global Justice Now, l'accent mis par la Fondation sur le développement de nouveaux vaccins détourne l'attention d'autres priorités sanitaires plus vitales telles que la mise en place de systèmes de santé solides. »En 2011, Gates dévoile son fantasme à l'OMS : « Dans les 193 Etats membres, vous devez faire des vaccins un élément central de vos systemes de santé. » Au point de perdre tout contrôle à un ex PDG de GAVI, Julian Lob-Levitt : « l'absurdité de campagnes de vaccination qui prennent 4 semaines à planifier, mettre en œuvre et compléter et qui, lorsqu'elles sont répétées 8 fois par an, paralysent totalement le système de santé. » Et Mr Vaccin est aussi Mr Bouffe. Sans être assermenté à Hippocrate, il respecte son conseil avec quelques retouches. Que l'alimentation soit ton poison : « Au début de cette année, Gates a crée un nouvel institut...basé à St. Louis, où se trouve Monsanto. La fondation a déclaré que la nouvelle organisation...Gates Ag One « permettra de faire progresser les semences résistantes et à haut rendement » et de les introduire dans les cultures essentielles aux petits exploitants agricoles, en particulier en Afrique subsaharienne et en Asie du Sud. »Bien que l'aide aux petits agriculteurs semble être une noble entreprise, la Fondation s'est efforcée de garantir que les pays du Sud dépendent de l'industrie occidentale, que ce soit pour les médicaments, les semences de hautes technologies ou les produits agrochimiques. Une grande partie de cette activité a débuté en 2006 lorsque la Fondation Gates s'est associée à la Fondation Rockefeller pour donner naissance à l'Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA)...Selon un rapport de l'African Center for Biosafety « il est frappant de constater qu'aucun de ceux qui sont à l'avant-garde de la révolution n'est africain. Tout comme le projet colonial en Afrique, cette nouvelle révolution est créée et ardemment défendue par des hommes blancs qui prétendent lutter pour libérer les Africains des griffes de la faim et de la pauvreté. » D'après The Economiste Gates et Monsanto sont partenaire dans un « projet d'OGM inapproprié et frauduleux qui promeut une solution technique rapide avant de s'attaquer aux problèmes structurels qui créent la faim, la pauvreté et l'insécurité alimentaire. » Le Dr Shiva explique le plan : « Vous créez un nouveau champ, vous y investissez. Vous forcez les gouvernements à y investir, vous détruisez la réglementation. Vous détruisez les alternatives, vous attaquez les scientifiques. »(13) Dans le livre , Le Terrorisme alimentaire ou comment les multinationales affament le tiers-monde, Vandana Shiva parle de la révolution verte de l'Oncle Sam en Inde : « L'agriculture industrielle n'a pas fourni plus de nourriture. Elle a détruit toute une gamme de ressources alimentaires et dérobé des aliments aux autres espèces afin de déverser davantage de produits spécifiques sur le marché, mobilisant pour se faire d'énormes quantités de combustibles fossiles, d'eau et de substances chimiques...Les variétés de céréales propres à la révolution verte ont certes donné plus de grains, mais au détriment de la production de paille...moins de paille signifie moins de fourrage pour la bétail et moins de matière organique qui retourne au sol nourrir les millions d'organismes qui y vivent et l'enrichissent en permanence...Les firmes internationales ne font pas que dépouiller les agriculteurs de leur production. Elles volent aussi les richesses de la nature par le biais du génie génétique et des brevets sur les êtres vivants. » Shiva parle de la mondialisation qui a entrainé une « mcdonaldisation », culture alimentaire du hamburger, entrainant l'effondrement des modes de production alimentaires durables : « En 1994, l'autorisation a été donnée à la société Pepsi Food...d'ouvrir 60 restaurants en Inde...Le Sénat américain a reconnu que les viandes de bœuf et du poulet spécialement préparées et proposées dans ces restaurants sont à l'origine des cancers que les Américains contractent à raison d'une personne toutes les 7 secondes.» Il faut dire qu'aucun pays n'a été demandeur et pour cause : Shiva parle du suicide de milliers paysans indiens avalant le glyphosate de celui qui les a ruinés : Monsanto. «...de grave diminution de la variété des plantes cultivées, pollution de la terre et des eaux... »Tout un symbole pour une damnation éternelle. Dans tous les pays cobayes la révolution verte a tourné à la révolution Terminator comme les semences du même nom.

L'Algérie a eu droit aussi, sans fanfare ou à fond. Quelques professionnels font de la résistance, malgré l'indifférence ambiante. Ils se montrent plus prudents avec la sempiternelle constatation, l'Algérie n'est pas l'Inde : « L'économiste algérien Ferhat Aït Ali alerte sur les méga projets agricoles engagés avec un consortium américain, parrainé par les pouvoirs publics. Selon lui, les projets d'El Bayadh et d'Adrar peuvent nécessiter le pompage en eau «chaque année l'équivalent du barrage de Beni Haroun sans aucune garantie de résultat». Et d'ajouter : «Pour nourrir en même temps un cheptel, de nature à produire 190 millions de litres de lait et 20 000 tonnes de viande, il faut tabler sur place pour un cheptel global de 22 000 vaches laitières et de 100 000 bovins, soit des besoins en terres pour le fourrage uniquement de l'ordre de 110 000 hectares, soit 770 millions de mètres cubes d'eau, par projet et 1,4 milliard pour les deux.»(14). Un désastre en gestation cloné à celui que décrit le Dr Shiva sur le territoire indien. En Algérie, on salive à la Pavlov quand on nous promet des centaines de millions de litres de lait de vache et de dizaines de milliers de tonnes de viande. Quelle malchance, au moment où les experts en diététique et santé non affiliés aux industries concernées, alertent sur le danger de la consommation du lait et de la viande rouge. Dans son livre, Changez d'Alimentation, le Pr Henri Joyeux, nous explique « pourquoi les laitages de vache ne sont pas faits pour l'homme. » Quant à la viande, il conseille d'éviter d'en manger tous les jours. Il évoque une étude en Chine (Hong Kong), qui compare deux groupes socio-économiques qui diffèrent par le risque de cancer du colon. Le taux de mortalité est 2 fois plus élevé chez le groupe plus carnivore. Il signale aussi que les Japonaises émigrées aux USA ont un taux du cancer du sein qui rejoint celui des Américaines avec à peine deux générations d'exil. Concernant la viande rouge, dans le livre de Sylvie Simon on peut lire : « Depuis 1986, les Anglais savaient que leurs vaches et leurs produits étaient contaminés, mais ils ont écarté de l'actualité tous les chercheurs perturbateurs qui tiraient la sonnette d'alarme. Pendant deux ans, sciemment, ils ont continué d'exporter les abats des bœufs contaminés, interdits à la vente dans leur propre pays. » En introduction, elle écrit : « Appartenant au système, les chercheurs qui dénoncent les dérives actuelles de certains de leurs pairs sont d'office mis sur des voies de garage ou privés de financement et les médecins encourent l'exclusion du conseil de l'ordre. Ce sont eux, médecins, scientifiques, physiciens ou biologistes, qui m'ont encouragée à écrire ce livre (La nouvelle dictature médico-scientifique.) »

En résumé comme l'Algérie est un pays arabo-africain, elle est forcément dans la liste. On peut y ajouter les médicaments périmés, on ne sait pas si le vaccin périmé rend le virus plus vivant ou moins. On n'en sait rien, on pique des infos à droite à gauche et on noircit des feuilles à l'aveuglette. Pendant que le silence de la majorité dont on fait partie, est 100 % consentement comme le fait remarquer l'OMS. Avec ce doux espoir qu'après le vaccin, le monde redeviendrait comme avant, même s'il était bien moche. Effroyablement éprouvant dans des pays aussi différents que l'Algérie, le Liban et la France. Et en bons croyants, on peut se considérer comme dommages collatéraux de la malédiction d'Allah envers les pécheurs. Seulement, on le voit autour de nous, le végétal et l'animal subissent aussi la sanction divine. Ont-ils péché eux aussi ? Gide disait « Dans un monde où tout le monde triche, c'est l'homme vrai qui fait figure de charlatan.» C'est l'homme vrai qui devient faux et comme tel, il faut le reformater ou l'éliminer par Dr Frankenstein. Pourtant, on le savait. La question à 7 milliards de sacrifiés : pourquoi n'a-t-on rien fait ? Mystère et explosion de la boule de cristal. Le Dr Benjamin Rush, médecin de George Washington et signataire de la Déclaration des Etats-Unis (de nos jours désunis à cause du virus) en 1776 avait prévenu : « A moins que nous n'incluions la liberté thérapeutique dans notre Constitution, la médecine installera un jour une dictature que nous sommes incapables de concevoir pour le moment. » (15) 244 ans plus tard, alors que les masques se font et se défont, nous sommes incapables de concevoir un simple lendemain sans un clic. De là, à fantasmer sur un déclic salutaire, il y a aucune voie pour mener les pas hésitants. Du temps de Camus, déjà la combat s'annoncer inégal, de nos jours, il est impensable, seules d'imperceptibles esquives sont possibles : « je ne partage pas votre espoir et je continue à lutter contre cet univers où des enfants souffrent et meurent. »(16) Pourtant, il fut un temps où la médecine était belle et noble. Avec un biologiste comme Jean Rostand qui déclare que « l'obligation de subir nous donne le droit de savoir ». Et un Amboise Paré d'affirmer : « Je soigne, mais c'est Dieu qui guérit. » 1510-1590, inventeur de la chirurgie moderne et de plusieurs instruments qui vont avec, Ce génie trop humain est boudé par les medias et l'Ecole qui, illico presto, se retrouve au service du cancre psychopathe

Légende ou pas, on parle d'un échange verbal entre le roi Charles IX et Ambroise Paré :

« - J'espère bien que tu vas mieux soigner les rois que les pauvres ?

- Non Sire, c'est impossible.

- Et pourquoi ?

- Parce que je soigne les pauvres comme des rois. » (17)

Notes :

1. La Nouvelle dictature medico-scientifique, Sylvie Simon.

2. Jeremy Loffredo et Michele Greenstein, Mondialisation.ca 16/07/2020, source The Grayzone 08/07/2020.

3. Mediapart 08/10/2019.

4. La Gerre contre les peuples, Claire Séverac.

5. Le Guardian 21/11/2017, Chercheurs de Vérités, Natural News.

6. The Grayzone.

7. Responsable de la communication de PBS NewsHour, Rob Flynn 2008.

8. Mickey Huff, président de la Media Freedom Foundation, foundation pour la liberté des medias.

9. Raul Andino, interview accordé à NPR.

10. Le Clinical Infectious Diseases Periodical d'Oxford en 2005.

11. British Medical Journal en 2012.

12. Keith Van Haren, neurologue pour enfants à la Stanford School of Medecine.

13. Ibid 6

14. Site le blog de Algérie-infos 17/02/2017.

15. Ibid 1

16. Camus, Actuelles, Ecrits politiques.

17. Wikipedia.