On ne le dira jamais assez.
Tout le monde, aussi bien au sein de sa famille et ses proches qu'au niveau de
ses collègues du Quotidien d'Oran et des autres titres, a subi un choc terrible
lors du décès de notre cher Habib Boumazza, le
vendredi 28 décembre 2007. Il s'apprêtait à rejoindre la rédaction pour
s'acquitter de sa noble mission lorsque la « faucheuse » l'a cloué dans son
lit.
Ce fut une disparition
inattendue et brutale à laquelle personne ne s'attendait. Car Habib c'était la
bonne humeur permanente et la joie de vivre. C'était le sourire par excellence
qui faisait de lui un compagnon dont la seule présence était un bonheur pour
les siens et son entourage. Sa famille et ses collèges ont non seulement perdu
un être cher, mais aussi un guide éclairé et toujours de bon conseil. C'est
pourquoi, à chaque anniversaire de sa disparition, nous tenons à évoquer ses
qualités humaines. C'est la douzième année depuis qu'il nous a quittés. Et
pourtant, la douleur est toujours aussi intense et les beaux souvenirs toujours
vivaces. Il a laissé un vide que personne ne pourra combler. Dans nos cœurs,
Habib est toujours vivant. C'est le plus beau et sincère hommage que nous
puissions lui rendre.