La Journée mondiale de la radio a été célébrée lundi
au niveau de l'auditorium de l'université Akli Mohand
Oulhadj. La date du 13 février a été une opportunité
pour ce personnel de diffuseurs, journalistes et animateurs pour retracer
l'histoire de la radio, ce «médium» qui grâce à son apport, le droit à
l'information, à l'expression et à la coopération a été développé, avec
notamment la naissance des radios communautaires. Le besoin de s'adapter aux
changements a été également abordé par le directeur de cette station régionale
M. Khaled Akchout. Ce dernier nous fera part que le
choix de la célébration de la Journée mondiale de la radio a été porté sur
l'université afin de s'ouvrir un peu plus, pour ne pas se confiner uniquement
dans l'habituelle orientation.
«Il faut créer ce genre de passerelle entre le monde
universitaire et la radio, afin d'écouter les doléances du milieu estudiantin»,
a-t-il ajouté. «Quant à la demande pressante des auditeurs pour le prolongement
du niveau horaire de la radio, nous aimerions bien y remédier, mais cette
prérogative relève de la centrale. Cependant, nous consignerons toutes les
doléances et les refléterons dans le but de développer encore plus la
communication. Je garantis que cette première rencontre avec le milieu
universitaire ne sera pas la dernière, il y aura d'autres ouvertures vers le
monde estudiantin, qui seront plus élaborées à l'avenir», a-t-il confirmé. Dans
le prolongement de cette célébration, des professeurs d'ordre universitaire ont
contribué par l'animation de conférences qui ont porté essentiellement sur le
rôle primordial de la radio. Notamment pour ce qui est des thèmes de la
diffusion et de la gestion des catastrophes naturelles, des crises, de la
formation de l'opinion publique et de la communication.