Après avoir tenu deux assemblées en l'espace de cinq jours, la première ordinaire très restreinte avec seulement la participation de neuf dirigeants du comité actuel et qui a vu l'adoption des bilans moral et financier, la seconde extraordinaire et qui a été plus élargie mais houleuse où chaque intervention est suivie d'insultes et de palabres.

Et c'est d'ailleurs ce qui a poussé les postulants à la présidence de se retirer carrément pour deux bonnes raisons, en plus d'un environnement malsain s'ajoute les 8 milliards de centimes de dettes sans parler des comptes qui sont toujours bloqués.

Ainsi, ces deux problème épineux et le retard pris dans la préparation de la nouvelle saison ont contraint les membres de l'assemblée et à l'unanimité à refuser la démission du président Mohamed Chadli qui l'avait présentée, faut-il le dire, devant les membres de l'assemblée comme le stipule la règlementation en vigueur. Mohamed Chadli n'ayant pas donné son accord pour aller jusqu'au bout de son mandat, certains sages s'affairent pour le convaincre de poursuivre sa mission. Bref, à ce train, la JSMT se dirige tout droit vers l'inconnu et il faut avoir le courage de le dire, avec Mohamed Chadli ou un autre président, si on ne retrousse pas les manches et on ne s'unit pas avec l'aide des autorités locales et de wilaya et à leur tête le premier responsable Mohamed Bousmaha qui est censé intervenir pour solutionner ces problèmes, la JSMT risque fort bien de disparaître.