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TEBESSA: Du nouveau pour la santé

par Ali Chabana

Certaines structures hospitalières, en phase de parachèvement des travaux d'aménagement sont l'objet, depuis quelque temps déjà, d'un suivi assidu de la part du 1er responsable de l'exécutif de la wilaya de Tébessa, M. Mabrouk Beliouz, à travers des sorties régulières sur le terrain. Et pour cause, l' ?'EPH Dr Alia Salah'' et l' '' hôpital M'henna Bendjedah'', entre autres, tous deux situés au chef-lieu de wilaya, constitueront une fois les travaux de réfection achevés, un pôle sanitaire de première importance et un renforcement pour les structures de la santé publique, de point de vue capacités d'accueil et de prise en charge médicale des malades. À la clinique Alia Salah, le wali tout en inspectant l'avancement des travaux de rénovation et des opérations d'équipement, il rappela à l'ordre les responsables des entreprises en charge des projets sur leurs engagements à livrer les structures dans les délais impartis. L'EPH en question sera doté de nouvelles unités médicales et un nouvel organigramme, selon son directeur, avec la perspective de l'ouverture d'autres spécialités médicales. D'après, les responsables de la DSP, ces infrastructures hospitalières et d'autres seront prêtes et donc réceptionnées dès le début de l'année 2015. Depuis son arrivée à la tête de la wilaya de Tébessa, le wali a fait du secteur de la santé une de ses priorités, la réactivation des polycliniques et salles de soins et leurs équipements et leur fourniture en personnels médical et paramédical en nombre suffisant sont autant d'objectifs que le wali s'est fixé afin de répondre aux besoins de la population locale, en matière d'actes médicaux, en particulier dans les zones rurales peu pourvues. Pour rappel, la wilaya de Tébessa dispose de 11 hôpitaux et d'une trentaine de structures de santé de proximité. L'ouverture d'une unité d'oncologie à Bekkaria est d'un apport considérable pour les patients cancéreux nécessitant des dépistages et soins intensifs en chimiothérapie. Toutefois, des insuffisances demeurent persistantes, notamment pour ce qui est déficit dans certaines spécialités médicales, ainsi que l'amélioration de la qualité des prestations