Le retour gagnant de la diplomatie algérienne sur la scène internationale est salué au plan international. Vue de l'extérieur, la situation intérieure de l'Algérie est la plus stable depuis cinq ans. L'Algérie récupère sa place dans le concert des nations, au moment où des experts en géopolitique parlent du centre du pouvoir qui est en train de basculer de l'Occident vers l'Asie du Sud-Est. Il est bien clair aujourd'hui que le nouvel ordre économique mondial domine déjà le monde.

L'Algérie constitue aujourd'hui « une oasis de sécurité et de tranquillité, en dépit des multiples et vaines tentatives ciblant sa cohésion et son unité », a souligné la revue El Djeïch dans son numéro du mois d'avril. « Dans un monde exposé aux turbulences, aux mutations et fluctuations, et dans un environnement régional caractérisé par les tensions et l'instabilité, notre pays, qui n'est pas à l'abri de ces événements et de leurs effets, constitue aujourd'hui une oasis de sécurité et de tranquillité, en dépit des multiples et vaines tentatives ciblant sa cohésion et son unité, et ce, grâce au haut niveau de conscience du peuple algérien et sa confiance en ses institutions et son Armée nationale populaire », écrit l'éditorialiste de la revue El Djeïch. L'Algérie et son peuple sont bien outillés pour s'adapter à un « environnement marqué par des tensions qui menacent la paix et la sécurité dans la région et dans un monde en proie à des conflits, des luttes et des polarisations complexes ». L'Algérie est aujourd'hui entourée de dangers extérieurs, ce qui n'échappe à aucun Algérien soucieux de préserver les intérêts vitaux de son pays. Les bras extérieurs de la « cinquième colonne » étant presque tous brisés, il n'est pas question de baisser la garde dans un environnement par nature changeant et les menaces protéiformes. La vigilance doit être augmentée à son niveau maximum. L'Algérie est sérieusement menacée par la guerre dite de 4ème génération, conçue sous deux axes: les nouvelles technologies et les conspirations visant le front interne.