Une quantité de 400 comprimés psychotropes de marque Rivotril a été saisie par les services de la 19ème sûreté urbaine en collaboration avec les éléments de la sûreté d'Aïn El Beïda à la suite du démantèlement d'un réseau de dealers composé de deux individus âgés de 26 et 33 ans. C'est à la suite d'informations parvenues aux services concernés faisant état de l'existence d'un dealer qui active dans le quartier des Mimosas que les enquêteurs ont réussi à arrêter les auteurs qui étaient à bord d'une motocyclette. La perquisition ordonnée dans le domicile de l'un des mis en cause a permis de récupérer les comprimés psychotropes ainsi qu'une arme blanche. Ils seront présentés au tribunal à l'issue de l'achèvement des investigations.

La semaine dernière, les éléments de la 2ème sûreté urbaine sont parvenus à mettre la main sur un dealer de 35 nans qui utilisait sa moto pour la vente des produits psychotropes. Le mis en cause a été arrêté au niveau de la rue Cavaignac à la suite de plusieurs jours d'investigation. Lors de la fouille, les policiers découvrent en sa possession 51 comprimés de marque Rivotril, une quantité de résine de cannabis en plus de l'argent provenant de la vente des stupéfiants. Il a été présenté au tribunal et placé sous mandat de dépôt. Par ailleurs et agissant sur la base d'informations, les mêmes services ont arrêté un dealer de 22 ans lequel activait dans le quartier du Plateau. Le mis en cause a été arrêté en possession d'une arme blanche. Les policiers ont également saisi 35.000 DA et un portable. La perquisition ordonnée dans son domicile a donné lieu à la récupération de 20 comprimés psychotropes plus d'autres plaquettes de Rivotril vides. Il a été placé sous mandat de dépôt.

D'autres quantités de produits psychotropes et des armes blanches ont été également saisis par les mêmes services avec le démantèlement d'un réseau de trois malfaiteurs âgés entre 18 et 35 ans. Une perquisition ordonnée dans le domicile de l'un des mis en cause a donné lieu à la saisie de 23 comprimés psychotropes, une épée, une arme blanche, une barre en fer utilisée dans les altercations, une somme d'argent provenant de la vente des stupéfiants en plus du kif traité. Les trois malfaiteurs ont été présentés au tribunal et placés sous mandat de dépôt. Au total, cinq personnes ont été arrêtées par les services de la 2ème sûreté urbaine pour détention et commercialisation de stupéfiants, port d'armes prohibées.