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Deux médecins,
exerçant au niveau de la cellule du traitement chimique du cancer à l'EPH «Mohamed
Boudiaf» de Relizane, sorties en congé de maternité, on provoqué des urgences
dans l'établissement hospitalier, apprend-on d'une source bien informée. Une
situation inattendue qui a mis dans l'embarras les cancéreux, qui vont se
retrouver confrontés à un dilemme à cause de l'absence d'une stratégie bien
définie pour la prise en charge résultant du manque de spécialistes dans ce
domaine ; ce qui va complètement chambouler le programme tracé par les
responsables de l'EPH et qui pourrait menacer la vie des malades atteints de
cancer.
Et bon nombre de ces derniers reviendront bredouille de leur déplacement vers l'établissement hospitalier pour subir les séances de chimiothérapie. Selon notre source d'information, le manque en spécialistes dans le traitement et le suivi des cancéreux est en rapport avec «l'oubli» du ministère de tutelle d'en affecter d'autres pour combler le déficit. Les associations locales activant dans le domaine de la défense des droits des cancéreux s'élèvent contre cette carence qui mettrait en péril leur vie. Dans le même ordre d'idées, il a été suggéré de doter les EPH d'Oued R'hiou et de Mazouna de cellules de traitement par la chimiothérapie pour désengorger celle de Relizane où l'on a procédé, l'année dernière, à quelques 2000 séances. Il est ainsi urgent de trouver la solution idoine au problème, avant qu'il ne soit trop tard. |
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