La récente
démission du maire de la ville côtière de Ténès, intervenue sous la pression
des 19 élus qui constituent l'assemblée populaire communale, semble avoir fait
tache d'huile. En effet, cette fois, les membres de l'APC du chef-lieu de
wilaya demandent, à travers une pétition signée par 32 élus, la démission du
maire. Cette crise, comme celle qu'a vécue l'APC de Ténès, se répercutera
indéniablement sur le bon fonctionnement de la commune, en l'absence de
délibérations. Bien entendu, si les deux parties se rejettent la responsabilité
de ce blocage, le citoyen lambda n'est pas dupe et sait pertinemment qu'il y a
des intérêts en jeu qui motivent ce genre de comportement. Affaire à suivre.