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«Ce n'est pas la
technique qui nous asservit mais le sacré transféré à la technique.» Jacques
Ellul, Les nouveaux possédés, Fayard, Paris, 1973
En ces temps étranges et radicaux de «gestion de la crise sanitaire», et la mise en place de nombreux protocoles, appareils législatifs et autres mesures exceptionnellement liberticides - simultanément appliquées à travers le monde - ont bouleversé la vie des individus et des familles, mais aussi tous les secteurs. Ces bouleversements ont fait basculer les sociétés mondialistes dans un «nouveau monde» - comme les grandes élites oligarchiques n'ont cessé de le répéter depuis l'an dernier. Ils ont porté un coup sévère au rapport des personnes, croyantes ou non, avec le religieux et le sacré, mais aussi avec l'éthique et le spirituel - à tout ce qui finalement fait sens. En France, il a fallu la lutte de la minorité catholique militante - aujourd'hui plus que jamais stigmatisée, moquée voire accusée1 - pour rouvrir les églises (et les autres lieux de culte, monothéistes ou non) tout en respectant de nouvelles règles aussi incohérentes que jugées inutiles par les scientifiques honnêtes et courageux («jauge» des messes ramenées à 30 personnes, «masques obligatoires», etc.). Ces nouvelles normes sont pourtant en contradiction complète et entière avec la liberté du culte - telle que garantie par la Constitution2. Transatlantiques, ici et là, les messes clandestines ont été dénoncées et brutalement interrompues par les forces de l'ordre3. Dans des préfectures françaises, des témoignages crédibles ont fait état de pressions, en particulier policières, sur les communautés chrétiennes mais aussi musulmanes, dès lors qu'elles tentaient de maintenir a minima leurs cultes respectifs et leurs prières ; sans parler des souffrances endurées de tout un chacun - agnostique, laïc ou croyant - du fait d'un protocole inhumain appliqué aux inhumations et aux autres cérémonies. Que dire en effet du nouveau-né qui découvre pour la première fois le visage masqué de sa mère4 ? Face aujourd'hui à l'effondrement de l'éthique, des valeurs de la civilisation occidentale et de sa gouvernance, il est urgent pour nous d'expliquer comment et jusqu'à quel point, depuis ces dernières années, les cadres culturels et idéologiques de ces dimensions du sacré et de la tradition ont été réduits, chassés, expurgés depuis «le Siècle des Lumières» - avec l'avènement de la classe dominante et bourgeoise et ses valeurs «universalistes». La désacralisation des rituels de la vie collective et individuelle, de l'espace et du temps, apparaît comme un fait essentiel de la Renaissance sublimée dans l'historiographie européenne. Ladite Renaissance va être parachevée par ce Siècle des Lumières. Celui-ci correspondra en fait, au XVIIIème siècle, à la suppression de la féodalité, appuyée sur le Roi comme représentant ou vicaire du Christ, par l'esprit marchand et financier. Ce nouvel ethos va s'appliquer à l'inversion de l'éthique de la civilisation occidentale, dans une vision franc-maçonne et moderne libérée de l'ordre millénaire chrétien. Alexander Tzonis situe ainsi la victoire de la Modernité au niveau de ce que G. Scott appelait la «raison consciente de l'homme à partir de laquelle l'individu commence à assumer une prééminence sur l'homme collectif»5, un changement radical et profond rejetant Dieu au profit des nouveaux maîtres politico-financiers et de leur double outil d'asservissement : la spéculation et la dette. De cette bifurcation, de ce changement de cap de la destinée humaine piloté par l'essor matérialiste et rationaliste de l'Occident, mais aussi par les sociétés occultes6 - élément moins étudié et pour cause -, Émile Durkheim nous a rappelé que : «(...) par conséquent, les forces humaines, les forces morales, les sentiments collectifs (sont rendus) conscients par une fixation sur des objets externes»7. 1 - La désacralisation de l'Occident comme primauté du matériel et du visible : C'est cette fixation sur le plan exclusivement matériel et physique, caractérisant toujours davantage les cultures occidentales issues ou se réclamant de la Renaissance, qui a entraîné la désacralisation des lieux et des formes de vie - la perte du lien avec le Divin -, dans une volonté (illusoire) de subversion du Vrai et de contrôle du réel. Dans sa préface à Une histoire chrétienne de la Révolution française, Marcel Clément nous rappelle en effet : «Ce que l'on nomme la ?'Renaissance des arts et des lettres'' désigne une période qui, à partir du XVème siècle, fut, dans son essence, un retour aux idées, à l'art antique, au paganisme et à sa forme propre d'humanisme. Les ?'humanistes'' du XVème et du XVIème se persuadèrent, en réaction contre l'art et la société des cathédrales, en décadence grave, qu'ils assistaient à l'éclosion d'une société nouvelle, d'un monde dont l'homme - et non plus Dieu - devenait la mesure et la fin. (...). Ce n'est plus la grâce divine qui inspire les artistes : c'est la grâce naturelle, humaine. L'éthique en résulte : c'est celle soit de Pyrrhonisme, soit d'Épicure.»8 C'est ainsi que les processus de destruction des valeurs authentiques liées à la Tradition ont pu soustraire l'homme occidental du monde ancien des mythes et des rites, organisant de facto sa décadence par le matérialisme combiné à l'individualisme sous couvert de la Raison, du «libre arbitre» et de la Science : «Le grand point faible de la Déclaration du 26 août 1789, ce n'est point d'abord d'avoir ?'sacralisé'' la propriété (art. 17), ni d'avoir insisté sur les droits au point de faire oublier les devoirs par une définition inconsistante de la liberté (art. 4). Il est peut-être d'être entièrement imprégné d'un individualisme qui ignore la famille et les autres corps intermédiaires.»9 Aujourd'hui, prenant prétexte de l'épidémie due au virus SARS-CoV2, l'accélération du projet du grand Reset énoncé officiellement et sans complexe par M. Klaus Schwab - patron du Forum économique mondial10 et descendant de la lignée Rothschild par sa mère11, réinitialisation pas uniquement économique prônée par la supra-élite occidentale. Celle-ci vise le transhumanisme et est l'un des derniers prolongements de cette obsession pour le monde matériel et mathématique12. Lisons un extrait de sa biographie professionnelle : «Klaus Schwab fut un élève d'Henry Kissinger à l'École de gouvernement d'Harvard. Puis, dans les années 70-80, il fut l'un des directeurs de la société Escher-Wyss (absorbée par Sulzer AG) qui joua un rôle important dans le programme de recherche atomique de l'Afrique du Sud de l'apartheid ; contribution qui eut lieu en violation de la résolution 418 du Conseil de sécurité des Nations unies. Avec l'aide du Commissaire européen pour les questions économiques, le Français Raymond Barre (membre de la Commission trilatérale), il fut le créateur d'un cercle de chefs d'entreprise qui devint le Forum économique mondial. Ce changement de nom fut opéré avec l'aide du Centre pour l'entreprise privée internationale (CIPE) ; la branche patronale de la National Endowment for Democracy (NED/CIA). C'est pourquoi il était enregistré en 2016 au Groupe de Bilderberg (organe d'influence de l'Otan) comme fonctionnaire international, ce qu'il n'a jamais été officiellement. Issu d'une famille de collaborateurs nazis, Klaus Schwab se dit «transhumaniste», promoteur de la «globalisation équitable».»13 Dans son dernier ouvrage, Covid-19 : The Great Reset, déjà paru et analysé notamment par l'excellent ancien haut fonctionnaire Eric Verhaege, ce même Schwab explique clairement en effet que cette épidémie «offre une opportunité rare» permettant de passer à la 4ème Révolution. Celle-ci nous ferait entrer dans une nouvelle ère où l'automatisation et la robotisation, via l'Intelligence artificielle, joueront un rôle majeur dans la destinée des êtres et des organisations, à toutes les échelles. Cette réinitialisation est portée, comme le montre Pierre Hillard et d'autres, par un projet messianique proprement inhumain14. Écoutons le maître mystique d'une autre tradition chrétienne, la tradition orthodoxe, Omraam Mikhaïl Aïvanhov, élève du Grand Maître Peter Deunov, qui nous explique ce phénomène de désacralisation potentiellement autodestructeur, d'un point de vue spirituel et mystique : «Quelle que soit la sainteté d'un lieu, quelles que soient les empreintes pures et lumineuses qui étaient déposées partout, sur les murs, sur les objets, tout disparaît si cet endroit est exposé aux allées et venues des gens qui transportent avec eux des entités ténébreuses à cause de la nature de leurs pensées, de leurs sentiments. La présence de ces entités chasse les esprits célestes, et c'est chaque fois un travail à recommencer. C'est pourquoi les Initiés ont toujours protégé les sanctuaires et les objets qu'ils contenaient pour que les courants, les présences du monde divin ne soient pas combattues par d'autres forces. Mais quand ils ont quitté ces lieux ou quand d'autres s'en sont emparés, peu à peu le caractère sacré de ces sanctuaires s'est perdu.»15 Cette rupture délibérée et assumée avec le Divin se manifeste concrètement par le fait que, chez ceux qui «coupent leur lien avec le Seigneur» : «(...) chaque jour, quelques particules de lumière, de vitalité se détachent d'eux, et comme cette perte se fait sentir dans leur vie familiale, leur vie professionnelle, c'est ainsi que peu à peu ils gâchent toute leur vie.»16 Ceci est visible dans la destruction de l'idée même de la famille, par le biais des attaques permanentes dans tous les champs de la vie et de la société via de nouvelles lois préfigurées longtemps auparavant par des conseils occultes, essentiellement dans des loges franc-maçonnes. Parmi les fers de lance de ce travail de sape des éléments fondamentaux et traditionnels figure l'intellectuel israélien Yuri Noah Harari - qui a vendu 15 millions d'exemplaires de son ouvrage racontant la genèse de l'humanité, Sapiens17. L'auteur, parmi les plus influents, est complaisamment décrit par les groupes de presse, à Paris et ailleurs, comme : «(...) un combattant politique, idéologique, culturel. (...) Ainsi prend-il grand soin de démontrer le modèle de la famille traditionnelle - le père, la mère, les enfants, dans cet ordre précisément -, rappelant qu'avant, très loin avant, il existait des systèmes divers et variés.»18 Cette incroyance touche même les communautés liées aux religions monothéistes, en particulier les catholiques du sein desquels, malgré tout, des voix courageuses, «traditionalistes», telles celle de l'Abbé Rioult, de l'Abbé Toulza ou de l'église Saint-Nicolas du Chardonnet, commencent à s'élever plus durement encore contre «la trahison du clergé» - en ces temps de servitude et d'oubli du Christ. Dans son homélie du 2 novembre 2020, l'un d'entre eux, l'Abbé D. Puga, interrogeait déjà les fidèles : «Est-ce le temps de l'Anté-Christ ?», reprenant le pape Pie X il y a un siècle, qui déclarait : «Notre société est devenue mortifère. Elle porte et apporte la mort. La perversion règne jusque dans les lois. (...) cette mort ravage la société : avortement, euthanasie, meurtre, etc. il est étonnant ce temps où pour, dit-on, sauver des vies on impose à tous des lois liberticides qui détruisent, petit à petit, non seulement le lien social général, mais aussi la famille et le lien religieux. (...)» De plus en plus de prise de conscience se fait jour depuis la récente déclaration du pape François quant à la conformité des faux «vaccins», pourtant élaborés notamment à partir de souches fœtales ou selon des techniques toutes expérimentales d'ARN susceptibles de modifier à jamais l'ADN, aux valeurs chrétiennes19. C'est ainsi que, employant des «mots extrêmement sévères contre ceux qui appellent à y renoncer», et «dénonçant ?un négationnisme suicidaire', ce dernier s'est exprimé dans le journal (supposément catholique mais bien libéral) La Croix20 : «Je crois que d'un point de vue éthique, tout le monde doit se faire vacciner, c'est un choix éthique, parce qu'on met à risque sa vie, mais aussi la vie des autres.» Dans cette même période et sans sur prise de la part des Orthodoxes, par l'autorité de l'office apostolique et prophétique, le Patriarcat Catholique Byzantin met en garde d'urgence contre la vaccination imposée de facto avec ces expérimentations géniques en cours21 : «Le nouveau vaccin à ARNm modifie non seulement le génome humain, mais constitue également une forme de puçage et conduit au génocide à la fois temporel et éternel de l'humanité. Conformément à la Bible ? Gal 1: 8-9 ? et à la Bulle Cum Ex Apostolatus Officio, les Catholiques ne doivent pas obéir à un hérétique. Bien qu'il se soit exclu de l'Église du Christ, l'archi-hérétique Bergoglio force avec autorité les croyants : 1. À s'opposer à Dieu et à Ses lois, 2. À agir de façon suicidaire contre la raison et la conscience, 3. À ignorer les avertissements des courageux experts non corrompus en immunologie, virologie, etc.»22 Ce positionnement papal à rebours de toute spiritualité et du droit inaliénable de tout humain à disposer de son corps et de son esprit, ne peut étonner quand l'on se penche un peu plus sur la vie de cet ex-Cardinal Bergoglio, notamment son implication dans les opérations menées par la CIA contre les leaders de ce catholicisme social ancré dans une théologie de la libération en faveur des déshérités23. Comme le note le journaliste Bruno Bouvet, sans qu'il ne soit apparemment informé des alertes de janvier dernier par la généticienne (de niveau mondial, mais aujourd'hui diabolisée du fait de ses prises de position courageuses) Alexandra Henrion-Caude, au sujet par exemple de la vaccination forcée qui a lieu en Afrique du Sud - notamment dans les quartiers pauvres : «Sur le plan international, le Vatican est particulièrement actif pour promouvoir un égal accès au vaccin contre le Covid-19, en particulier dans les pays les plus pauvres.»24 Ceci nous rappelle les mots forts du grand Jacques Ellul : «Le christianisme est la pire trahison du Christ»25 ; Et nous enjoint à penser à cette destruction, de l'intérieur, de la véritable Église, depuis le Vatican, comme R. Badenas le souligne : «La question de l'incroyance est très complexe et ses facteurs multiples. Il est regrettable de constater que, parfois, certains qui se disent croyants, comme ici les disciples, au lieu de favoriser la foi, semblent se ranger du côté de ceux qui y font obstacle. Tandis que les succédanés de la foi prolifèrent, le monde post-chrétien est en train de perdre la foi, et à un rythme tel que Jésus-Christ lui-même se demandait si, à son retour, il trouverait encore la foi sur la terre (Luc 18.8).»26 Mikhaïl Aïvanhov poursuit plus loin, au sujet de ces derniers, croyants superficiels ou hypnotisés : «En s'attachant exclusivement à la forme, ils ont oublié que la richesse, la beauté, la grandeur, la puissance matérielle sont seulement des traces lointaines du monde spirituel.»27 Et, dit-il, plus largement au sujet des matérialistes : «Si, extérieurement, ils ont formé des nations, organisé des sociétés dont les membres se soutiennent, et où tous sont au service de tous et peuvent profiter de tout, intérieurement ils restent isolés, agressifs, hostiles les uns aux autres. Tous les progrès qu'ils sont arrivés à réaliser dans leur vie matérielle, pratique, dans le domaine de l'organisation et de la technique, ils n'ont pas su les transposer dans le domaine intérieur. C'est pourquoi, malgré tous ces progrès, l'humanité souffre toujours des mêmes maux : guerre, misère, famine, oppression, dans des proportions qui étaient encore inconnues jusqu'à aujourd'hui.»28 De nombreuses preuves montrent la marche forcée vers l'identification et le contrôle numériques de la population mondiale, prélude à une désacralisation complète de l'humain, à travers les puissances coalisées médiatique et financière, Big Pharma, Big Tech et les principaux États mondialistes. D'un autre côté, en France et ailleurs en Occident, l'irruption et la réactualisation permanente de cette «crise sanitaire» a permis de consolider l'appareil législatif touchant à l'ordre biologique de l'homme et à son organisation en tant que famille, notamment par la réforme de la filiation et l'extension de la procréation médicalement assistée (PMA) aux lesbiennes et aux célibataires29. Cette «opportunité rare», pour reprendre les mots de K. Schwab, a aussi accéléré l'extension fortement liberticide et intrusive de la technique dite de l'algorithme, notamment, par la loi relative à la prévention des actes de terrorisme et au renseignement, votée le 30 juillet 202130. En revenant au travail de sape du spirituel et de l'aspiration à la communion avec Dieu à travers les messages prophétiques, la revue catholique La Vie mentionne, dans sa livraison de la fin 2020, le succès énorme, sur la plateforme Netflix de la série, de 2016 (pour les plus de 13 ans, 5 saisons à ce jour), Lucifer31, qui rencontre entre 3 à 5 millions de spectateurs par épisode !32 - et est aujourd'hui diffusée sur des chaînes européennes. Non seulement la série «rompt avec la tradition chrétienne (...) et est «saupoudrée de références chrétiennes - qui se réduisent essentiellement à des allusions à sa nature angélique», mais aussi vise-t-elle, au fond, à dédiaboliser Lucifer. Il apparaît dès lors comme un «héros post-chrétien plutôt qu'antichrétien (...) dans cette fiction où le paradis est présenté comme un lieu beau mais ennuyeux.»33 J. - C. Thibaut, prêtre, conclut son entretien avec la journaliste : «Cette idée qu'il ne faut pas chercher à entrer dans le Royaume de Dieu est aussi typique de notre société de plus en plus sécularisée. Où il ne faut pas chercher le bien mais trouver un juste équilibre entre le bien et le mal, entre le yin et le yang. Comme si ce qui comptait le plus, c'était de profiter pleinement des plaisirs de la vie. La devise de Lucifer de la série pourrait être : carpe diem !»34 Cette série présente donc la religion «comme un étrange carcan» et propose Lucifer comme «un divertissement mythologique.»35 Il n'est pas anodin qu'elle continue d'être diffusée sur une plateforme US qui afficha brièvement, le 24 ou le 25 décembre dernier, sur son compte officiel Instagram le message suivant : «priez SATAN»36. Netflix, compagnie prolifique, multiplie donc de plus en plus des références du Diable - «le père du mensonge» selon Jésus -, a été attaqué en justice par le Temple satanique pour des questions de droits d'auteur37. 2 - La puissance du rituel comme connexion avec le Sacré du Divin, la fête comme sa remise en vigueur : Rappelons le rôle essentiel du rituel dans le quotidien : «Tous les métiers ont leur rituel. L'agriculture antique obéissant à des règles religieuses comme l'architecture, notamment celle des temples qui en a conservé des vestiges avec l'orientation et la dédicace (...). Toute occupation quotidienne était rituelle. Nous-mêmes, hommes d'aujourd'hui, quand nous ôtons notre chapeau par respect, quand nous inclinons la tête avec déférence, quand nous tendons la main avec courtoisie, nous répétons un rite anciennement sacré devenu profane, un symbole devenu simple usage, mais qu'il nous serait souvent dangereux pour notre sécurité ou simplement pour notre réputation, de ne pas accomplir (...). Un rite peut se définir comme une suite de gestes, répondant à des besoins essentiels, gestes qui doivent être exécutés suivant une certaine eurythmie. D'après son étymologie sanscrite, ce mot désigne ce qui est conforme à l'ordre (rita).» 38 Cet ordre est l'ordre de la nature, la réalité de la nature des choses - au sens où celles-ci émanent de Dieu et de ses Épiphanies - de ses manifestations ici-bas. Le rite est ainsi un acte de reconstitution qui remet en vigueur les lois de la formation des choses dans la réalité même de la nature : «Nous rencontrons des fêtes rituelles célébrées au début et à la fin de l'année, dont le but essentiel vise le renouveau. Il est généralement symbolisé par l'extinction et la réanimation du feu, ce qui n'est pas un rite désuet puisque nous pratiquons encore les feux de la Saint-Jean et que le même rite est périodiquement accompli sous l'Arc de l'étoile devant la tombe du Soldat inconnu. Ce qui prouve qu'outre les rites religieux, il y a aussi les rites civils qui en sont des contrefaçons modernes.»39 A suivre Notes 1- L'un des premiers foyers supposés de contamination, curieusement encore appelés «clusters», a été sur-médiatisé comme étant lié à une cérémonie religieuse en province rassemblant environ 300 personnes. De nombreuses rencontres du même type ont continué à être dénoncées par l'ensemble de la presse subventionnée par l'État. 2- Le député F. Poisson, rare exemple de personnalité politique assumant son catholicisme, s'est exprimé maintes fois à ce sujet. 3- https://francais.rt.com/international/85361-royaume-uni-policiers-interrompent-ceremonie-vendredi-saint-cause-restrictions https://www.youtube.com/watch?v=R1DUliXAriU&t=4s 4- Des études ont déjà montré l'effet dévastateur et irréversible de cette pratique désormais courante en milieu hospitalier. 5- A. Tzonis, Vers un environnement non-oppressif, Mardaga, 1983, pp. 59-60. 6- Lire Jonathan Black, L'histoire secrète du monde, éd. F. Massot, Paris, 2009, en particulier «L'ère de la franc-maçonnerie,», pp. 541-554, et «Les illuminés et le début de la déraison», pp. 579-600. J. Black s'appuie notamment sur Rudolf Steiner et son livre profond : La légende du Temple et l'essence de la franc-maçonnerie. 7- Émile Durkheim, Les formes élémentaires de la vie religieuse, éd. Alcan, Paris, 1912, p. 58. 8- in Geneviève Esquier, Une histoire chrétienne de la Révolution française, éd. De l'Escalade, Paris, 1989, p.18 (nous soulignons). 9- Op. cit. p.20 10- https://lilianeheldkhawam.com/2021/04/10/klaus-schwab-forme-lelite-mondiale/ 11- Marianne née Rothschild. Cf. Gisa Hillesheimer et Angelika Rieber : Marianne Schwab : «Ich habe immer noch ein bisschen Sehnsucht und Heimweh» (allemand), portrait filmé en collaboration avec les Archives d'images de l'État de Hesse (Landesbildstelle Hessen) et l'Institut Fritz Bauer, Francfort 1995. http://www.juedisches-leben-frankfurt.de/en/home/biographies-and-encounters/biographies-s/family-schwab.html 12- Des personnalités de premier plan des mondes, chrétien, tel que Monseigneur Vigano, musulman, tel Sheikh Imran Hossein, mais aussi juif, commencent à être entendues à travers le monde. De l'autre côté, notons la prise de position de certains des représentants de l'Islam en France, avec le CFCM, favorable à la vaccination de masse avec les vaccins Pfizer, Astrazeneca, Moderna et Johnson & Johnson, voire à la gestion (politique) de cette épidémie, alors qu'il est de notoriété publique que les 4 vaccins homologués en Europe sont produits avec des fragments de fœtus combinés à de l'ARNm technologie innovante dont il est aujourd'hui avéré qu'elle fait modifier, de manière irréversible, l'ADN humain. De plus, il apparaît que de la gélatine animale, essentiellement porcine, semble être utilisée. Cf. A. Henrion-Caude et d'autres experts mondiaux sur le sujet. https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-dangerosite-des-nouveaux-vaccins-anti-covid-est-un-fait-historique https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/roger-hodkinson https://www.aubedigitale.com/cela-minquiete-beaucoup-linventeur-du-vaccin-a-arnm-partage-un-fil-de-discussion-viral-montrant-laugmentation-des-cas-de-covid-dans-les-pays-les-plus-vaccines/ 13- https://www.voltairenet.org/article212327.html 14- Peter Koenig, «Covid-19: The Great Reset ? Revisited. Scary Threats, Rewards for Obedience...It is Now the Time to Resist» : https://www.globalresearch.ca/great-reset-revisited/5723573 15- Omraam Mikhaïl Aïvanhov, Pensées quotidiennes : thèmes de méditation, éd. Prosveta, Fréjus, 1987, p.1. 16- Ibid. p. 3 17- Yuri Noah Harari, David Vandermeulen, Daniel Casenave, Sapiens, Tome 1, Albin Michel, 2020. 18- «Sapiens, BD arme de lutte efficace ... d'autant plus efficace que cette bande dessinée va, elle aussi, rencontrer à son tour un succès mondial.» M. Szafran, «Sapiens en bulle» in Challenges, n°672, 29 octobre 2020. 19- «La semaine prochaine, nous commencerons à le faire ici (au Vatican) et j'ai pris rendez-vous, il faut le faire», a-t-il déclaré dans cet entretien qui doit être diffusé dimanche soir mais dont quelques extraits ont été communiqués aux médias. Face au vaccin, «il y a un négationnisme suicidaire que je ne saurais pas expliquer, mais aujourd'hui il faut se faire vacciner.» in La Croix. https://www.lepoint.fr/monde/covid-19-pour-le-pape-s-opposer-au-vaccin-est-suicidaire-09-01-2021-2408869_24.php 20- La Croix défendant clairement, comme média majeur des catholiques libéraux, les nombreux thèmes qui désagrègent la société et l'ensemble du message christique ? dans la lignée décadente du Vatican et de son Concile II. 21- https://odysee.com/@adriana.la.diablesse:0/revelation_de_moderna:5 Un « rapport préliminaire urgent sur les données de la carte jaune » publié par l'Evidence-Based Medicine Consultancy Ltd, basée au Royaume-Uni et soumis à l'Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA), indique que «La MHRA dispose désormais de suffisamment de preuves sur le système de la carte jaune pour déclarer les vaccins COVID-19 dangereux pour une utilisation chez l'homme». https://b3d2650e-e929-4448-a527-4eeb59304c7f.filesusr.com/ugd/593c4f_b2ac def3774b4e9ca06e9fae526fd5cd.pdf 22- La lettre se termine par : «les vrais experts, mais aussi la raison, la conscience et la Parole de Dieu, mettent fortement en garde contre ce dangereux vaccin à ARNm ! Le Patriarcat Catholique Byzantin, au nom et en l'autorité du Dieu trinitaire, le Père, le Fils et le Saint-Esprit, met en garde contre cet auto-génocide vaccinal. Dans le même temps, ce Patriarcat oblige, par la présente, tous les Chrétiens et les personnes de bonne volonté, tant devant Dieu qu'en leur conscience, à offrir une résistance unifiée et catégorique.» https://reseauinternational.net/quelle-est-lopinion-de-dieu-sur-la-vaccination-par-arn-messager/ 23- Dans «Pope Francis, CIA and ?Death Squads'», le grand journaliste d'investigation Robert Parry écrit : «Whenever allegations do arise about the Catholic Church's hierarchy winking and nodding at the kinds of human rights atrocities that claimed hundreds of thousands of lives in Latin America during the 1970s and 1980s, the Vatican PR department lashes out with sternly worded denials. That practice is playing out again in the days after the election of Pope Francis I. Rater than a serious and reflective assessment of the actions (and inactions) of Cardinal Bergoglio, Cardinal Obando, Pope John Paul II and other Church leaders during those dark days of torture and murder, the Vatican simply denounces all allegations as «slander,» «calumny» and politically motivated lies.» https://consortiumnews.com/2013/03/16/pope-francis-the-cia-and-death-squads/ https://www.courrierinternational.com/article/2013/03/14/jorge-bergoglio-n-est-pas-le-pape-des-pauvres https://www.babelio.com/livres/Sire-Le-Pape-dictateur?Lhistoire-cachee-du-pontifica/1105018 24- «Le pape défend le vaccin et fustige ses détracteurs», La Croix, 11/ 1/ 2021. 25- J. Ellul, L'homme à lui-même, Éditions du Félin, janvier 1992. Ses autres livres sont également très éclairants : La Trahison de l'Occident (Calmann Lévy, 1975) ; La Subversion du christianisme (Le Seuil,1984) ; Le Bluff technologique (Hachette, 1988) ; Situes le fils de Dieu... (Le Centurion, 1991). 26- Roberto Badenas, Rencontres avec le Christ, Ed. Vie et santé, 2016 (traduit de Encuentros, Editorial Safeliz, 1991), p. 105. 27- Ibid. p. 5. https://national-justice.com/collapsing-catholic-church-n2041 28- Ibid. p. 4 29- https://www.lesechos.fr/politique-societe/societe/ce-que-prevoit-le-projet-de-loi-bioethique-1040459 30- Qui intègre dans le droit commun des dispositions emblématiques mais expérimentales de la loi «sécurité intérieure et lutte contre le terrorisme» (Silt) de 2017. 31- https://www.netflix.com/fr/title/80057918 32- «Lucifer : la série qui exhume la mythologie du diable», La Vie, 24-31 / 12 /2020. 33- Ibid. 34- Ibid. 35- Ibid. 36- https://www.bibliatodo.com/En/christian-news/netflix-promotes-demonic-series-by-saying-praise-satan-and-christians-speak-out/ et https://freedomwire.com/netflix-praises-satan/ 37- Pour reproduction non autorisée d'une statue de la divinité à tête de bouc, Baphomet, dans la série «Les Nouvelles Aventures de Sabrina»). http://www.slate.fr/story/170235/netflix-passe-un-accord-avec-des-satanistes 38- Luc Benoist, Signes, symboles et mythes, P.U.F., Paris, 1985 (1975), pp. 95-96. 39- Ibid., p.99. |