
Composée de cadres du secteur de
l'Education nationale, inspecteurs primaires, du moyen, secondaires, chefs
d'établissements des trois paliers, de représentants des parents, des syndicats
agréés, de responsables locaux de la direction de wilaya locale, une commission
de wilaya siège au CEM «Liabès Djillali» pour enrichir, voire soumettre des
propositions relatives au futur profit des rythmes et aux partenaires sociaux,
parents et syndicats agréés du secteur Education.
Au cœur des discussions, et sans cesse à la
une de plusieurs médias, le thème des rythmes scolaires polarise les regards de
l'opinion publique mondialement et impliquait une démarche ici et là. Et
l'Algérie en est concernée, note-t-on, au vu de ce qui est cycliquement opéré
comme démarches organisationnelles à la diminution des horaires, allégement des
programmes scolaires des semaines de l'année ou augmentations, c'est selon les
donnes de chaque pays. Au niveau local, le document de référence officiel
distribué aux participants de la rencontre fait part du pragmatisme dans
l'élaboration des emplois du temps des élèves lors de cette première étape dite
«enrichissement-propositions», toujours au vu des réalités et contexte du
terrain où en 2009-2010, l'année scolaire dans le primaire est de 35 semaines
au lieu de 32, cela concerne 4 niveaux ; l'on évoque les congés scolaires et
les changements dictés par le nouveau week-end, il y a deux ans, c'est là tout
un truisme car le processus de réforme que tout Etat ambitionne est long et
parsemé d'embûches externes et parfois internes. Ainsi, les rythmes scolaires
sont un enjeu considérable, d'où ce présent regard.