Pris dans le perpétuel tourbillon de la vie quotidienne, nous n'avons pas vu le temps passer. Et soudain, cette date fatidique du 28 décembre 2007 nous rappelle que treize années se sont vite écoulées.

Treize années que le beau sourire de notre ami Habib Boumazza n'éclaire plus la salle de la rédaction du Quotidien d'Oran.

Certes, tous nos collègues sont charmants et dignes de respect, mais on doit avouer que personne ne t'a remplacé, car tu étais unique par ta bonhomie à laquelle nous étions habitués. Et soudain, la douleur qui sommeillait se réveille, nous taraude la conscience. Le MCO que tu chérissais tant est toujours sur la brèche parmi l'élite, et ta place dans la tribune de presse est inoccupée, un signe de respect de tous nos confrères qui t'estimaient tant. Encore une fois, à travers ce petit message sincère, nous exprimons notre tristesse suite à une disparition à laquelle personne ne s'attendait. Tu es toujours dans nos cœurs. Repose en paix.