Le voisinage des habitations collectives, immeubles
et bâtiments, se plaignent de bureaux de professions libérales qui partagent la
même bâtisse, les accusant de dépassements quand ils fixent les plaques
d'identification de leurs activités. Pour leur publicité, les concernés
n'hésitent pas à recourir à un affichage des plus anarchiques. Des panneaux
sont placés sur les façades des blocs jusqu'à empiéter l'emplacement des
voisins qui sont gênés par ces tableaux de toutes dimensions, de couleurs
différentes qui font étalage de leurs services. Cet affichage, accusent les
contestataires, participe dans dégradation de la structure collective qui perd
ainsi de son esthétique. Parfois les murs sont griffonnés alors que des
écriteaux sont tout simplement accrochés sur des pylônes électriques. Pour les
habitants concernés, « ce désordre n'échappe pas à la vue des responsables qui
devraient remettre un peu d'ordre dans cet environnement ». Tout le monde est
tenu par le respect de l'esthétique des constructions et d'éviter toute
publicité avec des moyens archaïques dans l'espace public. L'administration
doit veiller au respect de la règlementation en matière d'affichage.