C'EST DANS UN BROUHAHA INDESCRIPTIBLE QUE SE DEROULENT LES COURS DANS CERTAINS ETABLISSEMENTS D'ENSEIGNEMENT DU CYCLE PRIMAIRE DU CHEF-LIEU DE LA WILAYA. VACARME DES BETONNIERES EN MARCHE, VROMBISSEMENT DES MOTEURS DE CAMIONS DE GROS TONNAGE QUI FONT LE VA-ET-VIENT ENTRE LES SITES ET LES ECOLES. TEL EST LE LOT QUOTIDIEN DES ELEVES QUI PREFERENT SE BOUCHER LES OREILLES ET S'EPARGNER AINSI LES GRONDEMENTS ASSOURDISSANTS DES ENGINS. UNE SITUATION INTENABLE ET INFERNALE, AUSSI BIEN POUR L'ELEVE QUE POUR L'ENSEIGNANT, NOUS DIT CE PARENT D'ELEVE PLUS PREOCCUPE PAR LA SANTE DE SON CHERUBIN QUE PAR SES ETUDES SCOLAIRES. DES ENTREPRISES DE CONSTRUCTION, PRIVEES N'ONT PAS TROUVE MIEUX POUR ENTREPRENDRE LES TRAVAUX DE REALISATION DE STADES MATICO ET AUTRES EXTENSIONS DE SALLES DE CLASSES, A L'INTERIEUR DES COURS DES ECOLES, QUE PENDANT LES JOURNEES ET HEURES OUVRABLES. L'ANNEE SCOLAIRE DEBUTE BIEN POUR CES ELEVES EN BAS-AGE QUI SUBISSENT, D'ORES ET DEJA, UN VRAI CALVAIRE. L'ENFER PLUTOT QUE LA SALLE DE CLASSE, NOUS CONFIE CETTE ENSEIGNANTE DEPITEE PAR CE DESORDRE QUI REGNE DANS SON ETABLISSEMENT SCOLAIRE LOIN DU CALME DES BUREAUX FEUTRES DES INSPECTIONS PRIMAIRES ET DE LA DIRECTION DE L'EDUCATION. LES CAS SONT LEGION A TRAVERS TOUS LES ETABLISSEMENTS SCOLAIRES DE LA VILLE.