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CNAS d'Oran: Des dispositions pour un meilleur accueil des assurés
par K. Assia
En
vue de concrétiser davantage la stratégie de rapprochement initiée par la
Caisse nationale des assurances sociales (CNAS) de la wilaya d'Oran, une
moyenne de 20 à 40 personnes sont reçues
quotidiennement par la cellule d'écoute de la Caisse, a-t-on appris auprès de
la chargée de la communication de la CNAS d'Oran. La cellule prend en charge
120 assurés par mois et ce pour répondre à leurs doléances et également les
orienter afin de régulariser leur situation. Tout en axant leur attention sur
les mécanismes mis en place pour faciliter et améliorer ce rapprochement, notre
interlocutrice a rappelé que les portes de la CNAS sont ouvertes chaque jour et
pendant toute la semaine de quoi répondre aux attentes des assurés et améliorer
la qualité du service rendu à ses usagers. Dans ce registre et selon un premier
bilan, on saura que 50 assurés sont également reçus par jour au niveau des 19
centres payeurs répartis à travers les communes de la wilaya avec en tête le
centre payeur siège de la Caisse qui accueille chaque jour 40 assurés alors que
plus de 50 assurés sont également reçus par le centre payeur Benrabia Houari qui est le seul à abriter un guichet pout
les allocations familiales et également pour les pensions vieillesse. Les
centres payeurs de Béthioua et Arzew enregistrent
quant à eux 30 assurés par jour. Tout en explicitant les mesures prises en
faveur de l'assuré et sur la mobilisation de tous les effectifs de l'agence
afin de prendre en charge les préoccupations des citoyens, notre interlocutrice
a rappelé qu'un numéro vert le 3010 est mis en place pour toute information ou
renseignement. Une équipe de professionnels veille à ce que toutes les
doléances soient ou satisfaites immédiatement, ou orientées vers les services
concernés. Le but est de contribuer à l'amélioration de la qualité des
prestations fournies au niveau des structures de la CNAS, à humaniser les
rapports du service public avec l'assuré ainsi que la restitution de la
confiance entre ce dernier et les organismes de la sécurité sociale.
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