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Les habitants de la cité des 600 logements située à Chemirik au chef-lieu de wilaya ne cessent de solliciter
les responsables locaux afin d'attirer leur attention sur un ensemble de faits
à l'origine d'un calvaire qui n'a que trop duré. En effet, les riverains
désappointés appellent les autorités locales à honorer leurs promesses
électorales, notamment l'aménagement urbain qui fait défaut à l'heure actuelle.
Le faible éclairage public de la cité favorise les agressions nocturnes et les
vols, selon des habitants qui affirment que plusieurs affaires ont été traitées
par les services de la police. Dans le domaine sanitaire, les habitants
réclament plus de considération et demandent la de réhabiliter la polyclinique
en y affectant un personnel médical et paramédical suffisant pour faire face au
flux quotidien des personnes en quête de prestations sanitaires. «Il est
inadmissible que l'on soit à chaque fois orienté vers l'EPH Mohamed Boudiaf ou
vers les cabinets de médecins privés pour de simples consultations ou examens
médicaux», tonne un vieil homme.
L'autre désagrément qui irrite la population est le transport urbain. Il est fait état de bus vétustes et souvent surchargés qui assurent la desserte vers la station de l'Abattoir. Ces moyens de transport doivent être retirés du circuit, dira une femme rencontrée devant un arrêt de bus. La direction des transports est interpellée pour remédier à la situation. |