« Le rôle des
institutions constitutionnelles dans la protection des droits et libertés »
était le thème de la conférence internationale qui s'est tenue mercredi
dernier. Les travaux ont été effectués en présence des représentant des deux
pays, Maroc et Tunisie, ainsi que des chercheurs et experts en loi
constitutionnelle de plusieurs universités algériennes, Oran, Alger, Naama,
Tlemcen, Tamanrasset, Ghardaïa, El Oued, Annaba, Tizi-Ouzou, Saïda , Sidi
Belabbes, Oum El Bouaghi, Mostaganem, Ouargla et Béchar, apprend-on auprès du
professeur Kihel Kamel, directeur du Laboratoire de droit et société,
organisateur de cet événement scientifique, en collaboration avec la faculté
des droits de l'université d'Adrar. 57chercheurs et experts ont examiné, durant
deux jours, les droits et libertés à travers les constitutions des pays arabes,
la constitution algérienne et les lois qui protègent les droits et libertés,
quelle vision pour la révision de la constitution actuelle? L'état des droits
et la problématique des droits de l'homme. Dans la deuxième journée, les
participants ont eu à discuter à travers des communications-débats les
différents aspects liés au rôle du Conseil constitutionnel, le principe de
séparation des pouvoirs et son impact sur les droits et libertés. La conférence
était une occasion pour les étudiants de la faculté de droit de contacter
directement des experts en droit constitutionnel. II est à noter que cette
conférence est organisée à l'occasion de la Semaine arabe des droits de
l'homme, du 09 au 16 mars.