
«Il
faut qu'on apprenne à faire les choses d'une façon différente, sinon, ça
devient de la routine et on perdra beaucoup d'énergie, de moyens et d'argent»,
a dit Ould Kaddour. Avant
de répondre aux questions des journalistes, il a tenu à rappeler que la
stratégie de Sonatrach 2030 oblige à s'interroger sur
«où va l'entreprise, avec quels moyens et quelles sont les personnes qui vont
l'accompagner ? C'est une stratégie sur 15 ans avec l'objectif d'augmenter nos
réserves en dollars.» C'est, dit-il, «un nouveau futur pour Sonatrach
qui doit être un étendard pour l'économie nationale, il faut donc produire plus
et mieux, trouver des nouvelles ressources, mieux les valoriser, renforcer
notre présence internationale, protéger l'environnement, agir socialement de
façon responsable, placer la performance au cœur de l'entreprise». Ould Kaddour rappelle que «depuis
une année, la pétrochimie est en route tout autant que le développement de
sources d'énergie offshore(?), ce travail participe à engranger 68 millions de
dollars de valeur ajoutée.» Il pense qu' «il faut donner un rêve aux gens, aller de l'avant, positiver?»
Elaborée
en septembre 2017, la SH 2030 est, affirme-t-il, «un plan ambitieux qui répond
aux défis de Sonatrach et de l'Algérie». Il veut que
«tous les Algériens s'y mettent(?)».