Exploitant un parc d'une superficie de 300 m² environ, «sis entre la voie ferrée reliant Aïn El Hadjar et le parc de l'Ecotec» tel que décrit dans le contrat de location daté du 02 janvier 1998, un groupe de travailleurs, fabricants de parpaings, s'interroge sur la destination de cet espace que ni la mairie, ni les domaines ne semblent gérer.

LE PRENEUR, BAKOURA DJILLALI, SIGNATAIRE DU CONTRAT DE LOCATION AVEC L'APC DE AÏN EL HADJAR, POURTANT BAILLEUR, EST MENACE D'EXPULSION DU FAIT DE L'UTILITE PUBLIQUE DE L'ESPACE. «JE NE CONTESTE PAS LE CHOIX ET L'UTILITE PUBLIQUE, MAIS NOUS DEMANDONS SEULEMENT UN TERRAIN DE RECHANGE POUR POUVOIR CONTINUER NOTRE ACTIVITE ET SUBVENIR AUX BESOINS DE NOS FAMILLES» DIRA M. BAKOURA QUI EXHIBE LA LETTRE DU 23 FEVRIER 2011 ADRESSEE AU WALI ET LA REPONSE DU CHEF DE L'EXECUTIF DATEE DU 29 MARS 2011 EXHORTANT LE PRESIDENT DE L'APC DE AÏN EL HADJAR A REGULARISER LA SITUATION DE CET OPERATEUR, BIEN QUE LE MAGISTRAT MUNICIPAL A RENVOYE L'AFFAIRE AUX DOMAINES EN DATE DU 24 FEVRIER 2011, APRES AVOIR REFUSE DE PERCEVOIR LES DROITS DE LOCATIONS CONFORMEMENT A L'ARTICLE 3 DU CONTRAT DE LOCATION. N'AYANT PAS REÇU L'ECHO ESCOMPTE, L'OPERATEUR ET SES COLLEGUES DE TRAVAIL, ONT REDIGE UNE PETITION ADRESSEE AUX RESPONSABLES NATIONAUX (MINISTRES) ET RAPPELE LES AUTORITES LOCALES DE LEUR PREOCCUPATION MAJEURE. «TOUTE CESSATION D'ACTIVITE VOUERAIT NOTRE FAMILLE A LA FAIM ET LEURS SOUTIENS AU CHOMAGE, CAR NOUS N'AVONS D'AUTRES RESSOURCES QUE CETTE ACTIVITE DE FABRICATION DE MATERIAUX DE CONSTRUCTION, UN GAGNE PAIN ET UNE PRESTATION UTILE AU DEVELOPPEMENT LOCAL», DIRA M. BAKOURA ESPERANT UNE SOLUTION IDOINE ET EQUITABLE.