|
Envoyer à un ami |
Version à imprimer |
Version en PDF
Près de 3.700 cas d'urgence
liés aux effets secondaires du traitement ont été pris en charge cette année de
janvier à septembre par le service d'oncologie de l'établissement hospitalier «
1er Novembre 1954 » à Oran, ce qui représente une moyenne quotidienne de 20
cas. Ces urgences incluent des complications découlant des traitements de
chimiothérapie et d'immunothérapie, entraînant divers effets secondaires
nécessitant une attention médicale immédiate. Dans le cadre de la gestion de
ces urgences, l'hôpital a organisé jeudi une journée scientifique de formation
continue, dédiée aux urgences en oncologie.
Cette journée a réuni des professionnels de santé de diverses spécialités pour discuter des défis posés par les situations d'urgence chez les patients atteints de cancer. Sous la direction de la professeure Faïza Breksi Reguig, l'événement a été réalisé en collaboration avec l'Association oranaise d'oncologie (SOMO) et la Faculté de médecine de l'Université d'Oran. Plus de 100 participants, comprenant médecins spécialistes, résidents et paramédicaux, ont assisté à cette journée, avec des intervenants de plusieurs établissements voisins, permettant des présentations en direct et en ligne via Zoom.» L'objectif principal de cette journée était de favoriser l'échange d'expériences et de connaissances entre les différentes spécialités impliquées dans la gestion des effets secondaires des traitements oncologiques. Au cours de cet événement, plusieurs conférences ont été présentées, abordant des sujets variés et cruciaux. |