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Comment ne pas rappeler que
par le passé, j'ai eu l'honneur de coordonner plusieurs ouvrages
pluridisciplinaires, ayant abordé les réformes politiques, sociales et
économiques, fruit d'un travail collectif à la rédaction desquels ont contribué
des collègues spécialistes en anthropologie, en économie et en sciences
politiques des universités d'Annaba, d'Oran et d'Alger (Réformes et démocratie,
Office des publications universitaires OPU 1981, 420 pages reproduit dans
Editions Amazon Paris 2018 et Casbah Editions 2 volumes,
Mondialisation-Réformes et démocratie 500 pages 2005).
Ces travaux sont aujourd'hui au cœur d'une actualité brûlante et objet de cette présente contribution réactualisée, qui s'inscrit en partie dans la tradition déjà bien établie des travaux de transitologie, traitant des expériences des pays du Tiers Monde et de l'ex-bloc socialiste, analysant les différentes politiques élaborées et exécutées en guise de réponses aux grands défis internes et mondiaux. Entre 1980/2019, j'ai donné plusieurs conférences aux universités de Annaba, de Constantine, de Tizi Ouzou, de Bejaïa, de journées d'études à Hassi Messaoud, Sid Bel Abbes, d'Oran, à l'École nationale d'administration d'Alger (ENA), à l'Académie militaire de Cherchell, à l'Ecole supérieure de guerre et à l'Institut militaire de documentation et de prospective IMDEP Ministère de la Défense nationale MDN et lors de plusieurs conférences à l'international USA/Europe, dont la conférence devant le Parlement européen, cela afin d'expliquer notre démarche fondée sur l'alternance démocratique tenant compte de l'authenticité de l'Algérie, pièce maîtresse de la stabilité de la région méditerranéenne et africaine, avec pour objectif une économie diversifiée hors hydrocarbures dans le cadre des valeurs internationales s'adaptant à la quatrième révolution économique mondiale. Face aux tensions géostratégiques, urgence de profondes réformes du système politique et socio-économique 1.1- En Algérie, la transition économique se traîne en longueur depuis de longues décennies. La gestion volontariste depuis l'indépendance, les enjeux de pouvoir internes, la crise économique, sociale et culturelle, et enfin les contraintes externes de plus en plus pesantes ont abouti à des changements, menés parfois à la hussarde, qui ont révélé une réalité bien amère : l'absence dramatique d'une véritable stratégie nationale d'adaptation à ce phénomène total et inexorable qu'est la mondialisation. La conjonction de facteurs endogènes et exogènes et l'intervention massive - parfois directe et par moment insidieuse-d'acteurs internes et externes a abouti à une transition qui se traîne en longueur depuis des décennies et non pas seulement pour la période actuelle. L'économie est fondamentalement politique, comme nous l'ont enseigné ses fondateurs, notamment Adam Smith, David Ricardo, Karl Marx, Joseph Schumpeter et plus près de nous les prix Nobel en sciences économiques attribués aux institutionnalistes entre 2000 et 2019. Les réformes, fondement de la transition socio-économique, renvoient à la refondation de l'État qui implique de saisir les tendances réelles de la société algérienne face aux mutations, tant internes que mondiales. La cohésion des espaces et leur implication dans la gestion de leurs intérêts et de leurs territorialités respectives enclencherait alors une dynamique de compétitions positives et rendrait la maîtrise des groupes plus facile pour la centralité politique nationale. L'autonomie des pouvoirs locaux ne signifie pas autonomie de gouvernement, mais un renforcement de la bonne gouvernance en fortifiant le rôle de la société civile, que seules des actions d'intérêt commun doivent légitimer, et non le soutien de l'État. Dans ce cadre, la refondation de l'État passe nécessairement par une mutation profonde de la fonction sociale de la politique. La fin de l'État de la mamelle, puis de la légitimité révolutionnaire, signifie surtout que le pouvoir bienfaisant ? ou de bienfaisances inaugurées comme contrat politique implicite par les tenants du socialisme de la mamelle afin de légitimer l'échange d'une partie de la rente contre la dépendance et la soumission politiques, et qui efface tout esprit de citoyenneté active ? doit céder la place à un pouvoir juste. C'est la norme du droit qui reprend sa place pour légitimer le véritable statut de la citoyenneté nationale. Le passage de l'État de « soutien » à l'État de justice est de mon point de vue un pari politique majeur, car il implique tout simplement un nouveau contrat social et politique entre la Nation et l'État. L'Algérie ne peut revenir à elle-même que si les faux privilèges sont bannis et les critères de compétence, de loyauté et d'innovation sont réinstaurés comme passerelles de la réussite et de promotion sociale. La compétence n'est nullement synonyme de postes dans la hiérarchie informelle, ni un positionnement dans la perception d'une rente, sur un diplôme, mais se vérifiant par des actions concrètes sur le terrain afin de réaliser les aspirations d'une Algérie arrimée à la modernité tout en préservant son authenticité. La gouvernance est une question d'intelligence et de légitimité réelle et non fictive. 1.2- Cela implique des réaménagements dans l'organisation du pouvoir devant poser la problématique du futur rôle de l'État influencé par les effets des nouvelles mutations mondiales notamment à travers une réelle décentralisation, autour de quatre à cinq pôles régionaux socio-économiques homogènes, à ne pas confondre avec le concept dangereux du régionalisme qui annihile tout esprit de citoyenneté, afin de rapprocher l'Etat du citoyen. Dans ce cadre, cellule de base par excellence, la commune algérienne a été régie par des textes qui ne sont plus d'actualité, autrement dit obsolètes. Cela suppose que toutes les composantes de la société et les acteurs de la vie économique, sociale et culturelle soient impliqués, sans exclusive, dans le processus décisionnel qui engage la configuration de l'image de l'Algérie de demain qui devra progressivement s'éloigner du spectre de l'exclusion, de la marginalisation et de toutes les attitudes négatives qui hypothèquent la cohésion sociale. L'implication du citoyen dans le processus décisionnel qui engage l'avenir des générations futures, est une manière pour l'État de marquer sa volonté de justice et de réhabiliter sa crédibilité en donnant un sens positif à son rôle de régulateur et d'arbitre de la demande sociale. Comme j'ai eu à le souligner depuis plus de 30 ans il y a urgence de s'orienter vers cinq à sept de grands pôles économiques régionaux souples dans leur organisation. Actuellement les présidents d'APC ont peu de prérogatives de gestion tout étant centralisé au niveau des walis qui eux-mêmes sont liés au pouvoir central, alors qu'il y a lieu de penser un autre mode de gestion, de passer de stade de collectivités locales providences à celui de collectivités locales entreprises et citoyennes responsables de l'aménagement du marketing de son territoire, réalisant un triple objectif: une société plus équilibrée et plus solidaire, le croissance au service de l'emploi et mettre l'Algérie au cœur du développement du Maghreb et plus globalement de l'Afrique et de l'espace euro-méditerranéen en favorisant le croissance économique. Il ne s'agira pas d'opposer le rural à l'urbain, les métropoles aux provinces, les grandes villes aux petites mais d'organiser leurs solidarités. Pour cela, il s'agira de favoriser une armature aubaine souple à travers les réseaux, la fluidité des échanges, la circulation des hommes et des biens, les infrastructures, les réseaux de communication étant le pilier. Pour réaliser cet objectif, je préconise la création d'une fonction de super-wali (gouverneur) par grandes régions homogènes représentant l'Etat central en tant que régulateur et non gestionnaire, poste politique secondé par des walis délégués avec le profil de manager (économistes, ingénieurs, juristes, évitant de puiser toujours dans l'Ecole nationale d'administration). Les directions de wilayas qui sont budgétivores devront être regroupées en adéquation avec ceux des ministères. La structure qui me semble la plus appropriée pour créer le dynamisme régional, ce sont les chambres de commerce régionales qui accompliraient quatre missions. Premièrement, dynamiser les infrastructures de base et préparer les sites confiés aux agences de promotion immobilière publiques et privées ; deuxièmement, mettre à le disposition les sociétés une main-d'œuvre qualifiée grâce à un système de formation performant et évolutif allant des ingénieurs, aux gestionnaires, aux techniciens spécialisés et ce, grâce aux pôles universitaires et les centres de recherche, évitant ce mythe d'une université par wilaya. L'apprentissage en dynamique est un capital humain pour de futures sociétés qui s'installeraient dans la région, une société installée payant les impôts qui couvriront largement les avances en capital de la formation avancée, car les sociétés ont besoin de l'accès aux chercheurs, aux laboratoires pour les tests d'expérimentation et l'université a besoin des sociétés comme support financier et surtout d'améliorer la recherche, les étudiants et chercheurs vivant ainsi la dialectique entre la théorie et la pratique. La troisième action est de favoriser les entreprises souples reposant sur la mobilité et les initiatives. Les tests ont montré que l'initiative personnelle et collective, pour certains produits, permet d'économiser certains équipements (donc d'avoir un amortissement moindre dans la structure des coûts) améliorant la productivité de travail de l'équipe, ce qu'on qualifie d'équipes autodirigées. La quatrième action, la chambre de commerce intensifierait les courants d'échange à travers différentes expériences entre les régions du pays et l'extérieur, mettant à la disposition des futurs investisseurs toutes les commodités nécessaires ainsi que les prestations de services divers (réseau commercial, loisirs) favorisant cette symbiose entre ces différentes structures, le tout aboutissant à des analyses prospectives fondamentales, à un tableau de bord d'orientation horizon 2025/2030 des futures activités de la région, afin de faciliter la venue des investisseurs. Pour une réorganisation institutionnelle 2.1-. Dans la situation actuelle, plusieurs ministères se télescopent, renforçant le manque de visibilité et de cohérence. Or, la fonction principale d'un ministre est de prévoir et d'agir en conséquence, pouvant s'entourer de bons techniciens et experts, mais ne devant jamais fuir ses responsabilités. Il est avant tout responsable de la politique générale de son ministère, et selon la déontologie politique il est responsable de toute action de ses collaborateurs, positive ou négative. Et en cas de mauvaise gestion ou de scandales financiers relatés par la presse (renvoyant à une justice indépendante), ils font retomber toute la responsabilité sur leurs collaborateurs, expliquant d'ailleurs la démotivation de la majorité des cadres. Or, la responsabilité est collective. Combien d'expériences montent qu'un gouvernement n'est pas fait pour être obligatoirement populaire, mais doit avoir une vision stratégique d'optimalisation de la fonction objective stratégique, pour notre cas l'Algérie horizon 2030, afin de réaliser la transition d'une économie totalement rentière à une production et exportation hors hydrocarbures de segments productifs au sein des valeurs internationales en déclin. Ainsi, comme sortie de la crise s'imposent des objectifs stratégiques pilotés par de grands ministères. D'où l'urgence de rationaliser la dépense publique, notamment par un regroupement des ministères. Cette réorganisation devient urgente pour des raisons surtout d'efficience gouvernementale. L'Etat doit réduire son train de vie, donner l'exemple de rigueur, éviter en cette période de crise des dépenses inutiles de prestige sans impact véritable sur le devenir économique du pays et donc sur l'amélioration du pouvoir d'achat des citoyens. D'ailleurs, un regroupement des ambassades, excepté pour des pays avec qui l'Algérie entretient d'importantes relations commerciales, devrait rentrer dans cette réorganisation. La nouvelle Constitution ayant tranché pour un régime semi-présidentiel, la présidence devrait se doter de grands départements stratégiques homogènes, épaulé par un haut commissariat à la planification stratégique, avec à sa tête un ministre d'Etat, avec une équipe pluridisciplinaire composée des meilleures compétences nationales, chargé selon les orientations du président de la République de définir les axes stratégiques du pays, le gouvernement étant chargé de l'exécution. 2.2.-A ce titre, je rappelle les pistes d'organisation que j'ai suggérées en 2007 (voir sur www.google. com). Au ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales devrait s'adjoindre l'aménagement du territoire et l'environnement. Ce ministère stratégique ayant un budget important, il y a lieu d'éviter le gaspillage et le droit à l'erreur. Ce qui exclut obligatoirement le pilotage à vue au profit d'actions fiabilisées par des perspectives synchronisées court, moyen et long terme d'une part, d'autre part des arbitrages cohérents qui impliquent la rigueur dans l'acte de gestion. Les directions de wilayas qui sont budgétivores devront être regroupées en adéquation avec ceux des ministères, évitant de puiser pour les fonctions de walis ou chefs de daïras, toujours dans l'Ecole nationale d'administration, impliquant les compétences dans d'autres filières, économistes, ingénieurs. (la daïra structure intermédiaire devrait être supprimée à terme en revalorisant la fonction de président d'APC). C'est en accordant la priorité à la connaissance que les politiques publiques apporteront des réponses à la pauvreté, à la fois rurale et urbaine, et surtout à l'évolution du chômage par la création d'emplois et d'activités génératrices de revenus, en particulier pour les groupes vulnérables, notamment les femmes et les jeunes. Aussi, je préconise un grand ministère de l'Education nationale et de la Recherche scientifique (la revalorisation des compétences) où la département start-up doit lui être rattaché (voir audit réalisé sous la direction du Pr Abderrahmane Mebtoul, 9 volumes 980 pages, l'Algérie face aux enjeux géostratégiques, bonne gouvernance et les réformes horizon 2025/2030 Premier Ministère 2014 volume 5 réalisée par les professeurs Abdelhak Lamiri et Mohamed Bahloul, les axes opérationnels de l'économie de la connaissance, où ont été développés les axes récents du président de la République). Pour éviter la cacophonie actuelle s'impose un grand ministère de l'économie nationale regroupant le ministère des Finances, le ministère du Commerce et le ministère de l'Industrie, des PMI/PME, les Mines, segment stratégique de la relance industrielle étant une aberration qu'il soit rattaché actuellement au secteur de l'Energie. Devront lui être rattachées les différentes agences chargées de l'investissement qui se télescopent et qui sont loin d'avoir répondu aux attentes des pouvoirs publics, malgré de nombreux avantages accordés, Andi-emploi des jeunes, pour plus de cohérence. Concernant la privatisation -partielle ou totale en panne, complémentaire à la démonopolisation, encouragement de l'investissement privé local et international productif qu'il s'agit de ne pas diaboliser et donc d'encourager, ce qui serait un signe fort pour la communauté internationale et les investisseurs potentiels, je propose de créer à l'instar des pays qui ont connu une réussite, évitant qu'un ministre soit juge et partie (délits d'initiés), une grande agence chargée des -privatisations partielles ou totales ayant une mission transitoire composée d'experts de haut niveau, sous l'égide soit de la présidence ou du parlement ou selon l'actuelle Constitution, du Premier ministre ou chef de gouvernement selon qu'il y ait ou pas de majorité parlementaire. Le secteur de l'énergie qui constituera entre 2021/2025 la principale entrée de devises regrouperait l'actuelle organisation plus les industries pétrochimiques, le département des énergies renouvelables afin de favoriser la transition énergétique. La sécurité alimentaire relevant de la sécurité nationale, l'agriculture et la pêche, dont pour ce dernier ayant eu un résultat médiocre comme en témoigne le prix élevé du poisson, formeraient un tout. Quant aux autres ministères, le défi majeur du XXIe siècle étant celui de l'eau, le dessalement de l'eau de mer (en espérant pour ces unités une intégration de certains de leurs composants, ce qui est possible) relèverait d'un seul ministère mais dont la base est le gaz, s'impose une coordination avec le ministère clé de l'Energie, pour la cession du prix du gaz. Le ministère du Travail, logiquement devrait intégrer celui de la Formation professionnelle, de l'Emploi et de la Solidarité nationale; pour celui de la Santé, il devrait inclure toutes les caisses de sécurité sociale en espérant leur réunification pour éviter leur implosion. Devraient également être regroupés le ministère des Postes et des nouvelles technologies, et de l'Information; la culture devrait être regroupée avec celui du ministère du Tourisme devant distinguer le tourisme populaire du tourisme procurant des devises mais du fait de la situation actuelle ce n'est pas pour demain, les entreprises de tourisme étatiques croulant sous le poids des dettes; pour les transports (Tassili relevant de Sonatrach devant lui être attaché), il sera regroupé avec les travaux publics et l'habitat. Quant aux structures de la jeunesse et des sports, elles devraient être regroupées; la promotion de la condition féminine et la protection de l'enfance devront faire l'objet d'un traitement particulier tenant compte des nouvelles organisations annoncées par la présidence de la République. Le ministère des Affaires étrangères devrait axer ses efforts sur la diaspora et la diplomatie économique, mais devant être réaliste comme support nécessitant des entreprises compétitives en termes de coût/qualité selon les normes internationales. Celui des Moudjahidine, qui avec le temps deviendra une annexe d'un ministère de l'action sociale, et la Justice pour sa véritable indépendance avec toutes ses structures, devrait faire l'objet d'un large débat pour sa réorganisation. Le ministère de la Défense et les services de sécurité garants de la sécurité nationale et de la défense du territoire, qui ont fait un important effort pour leur modernisation à travers la formation, recelant d'importantes compétences, après une large concertation des différents segments, du fait de la sensibilité de ce secteur devrait être organisé à part tenant compte des expériences internationales s'adaptant aux nouvelles mutations en intégrant les nouvelles technologies et la théorie de l'intelligence économique afin d'éviter les cyber-attaques qui constitueront l'enjeu militaire du XXIe siècle. Enfin les organes de contrôle des deniers publics devraient être regroupés afin d'éviter les télescopages devant différencier acte de gestion et corruption. Quant au conseil économique et social et le conseil national de l'énergie, il devient impératif de mettre en œuvre l'application des décrets présidentiels qui viennent de paraître début 2021, concernant la composante qui n'a pas été renouvelée depuis des années. En conclusion, il existe un théorème en sciences politiques, toute léthargie gouvernementale, surtout en période de crise et de tensions budgétaires porte atteinte à la sécurité nationale d'un pays. Pour l'Algérie force est de constater malheureusement des discours contradictoires déconnectés de la réalité sociale de certains responsables sur des sujets sensibles. Même pour les affaires courantes, la majorité des membres du gouvernement prennent peu d'initiatives, faisant remonter les problèmes même de gestion courante au niveau de la présidence de la République. Tout cela renvoie à l'urgence de la coordination qui fait défaut et d'institutions adaptées afin de permettre des stratégies d'adaptation au nouveau monde qui repose sur la bonne gouvernance et la valorisation du savoir, marquée par de profonds bouleversements géostratégiques, la transition énergétique et numérique. Il s'agit d'éviter les interférences pour une politique cohérente, de rationaliser la dépense publique qui atteint un niveau inacceptable et lutter contre la bureaucratie centrale et locale, qui constitue l'obstacle majeur. En bref, l'efficacité des réformes du système politique, économique et institutionnelles doit être sous-entendue par les objectifs clairement définis et datés. *Professeur des Universités, Docteur d'Etat (1974) en sciences économiques, expert international |
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