Mohamed Brahimi raconte le meilleur de l'Algérie. A 15 ans il est sur les champ pétrolier de l'Algérie bientôt conquérante. Autodidacte, il est aujourd'hui senior manager chez RedMed, une enseigne montant du paysage pétrolier algérien. Mohamed Brahimi a narré son aventure devant le public "optimiste" de Fikra. On y apprend qu'il a participé à éteindre l'incendie géant de Zarzaïtine. 7 mois à lutter contre des flammes de 160 métres de haut les premiers jours. Mohamed Brahimi serait bien utile pour éteindre le feu qui s'étend dans les hautes sphères de l'Etat autour du 4e mandat présidentiel. Les enjeux y sont multiples. L'un d'eux est celui de la conduite des enquêtes économiques. Le DRS a supplanté largement la cour des comptes. Et cela n'est pas sans conséquence. Pendant ce temps les bonnes et les mauvaises nouvelles ne s'arrêtent au seuil de l'incendie présidentiel. Un investisseur sud africain vient en Algérie pour produire avec un privé algérien 2 millions de tonnes de ciment à partir de juin 2016. C'est la bonne nouvelle. La France emblave 1 hectare sur cinq de blé pour l'Algérie. Et ce n'est pas prêt de changer. C'est la mauvaise nouvelle. On s'en doutait.