
Les trottoirs, les
coins de placettes, les rues et ruelles, les alentours des marchés des fruits
et légumes envahis et débordant d'ordures, déchets ménagers et autres détritus.
Des citoyens désabusés devant les guichets de l'état civil comme dans d'autres
administrations. Un paysage environnemental qui fait de la peine à voir. C'est
l'image bien triste et bien malheureuse que présentait la ville de Médéa, le
chef-lieu de wilaya, durant les journées de lundi, mardi ainsi qu'en cette
matinée de mercredi. Et il en était de même à travers les autres
agglomérations. Ceci étant la conséquence de cette grève, encore une,
déclenchée suite à l'appel du SNAPAP pour les 18, 19 et 20 février. Des grèves
qui occasionnent bien des désagréments, à chaque fois, aux citoyens en général
qui ne sont aucunement responsables, ni de près ni de loin, de «la malvie
socioprofessionnelle» des personnels des corps communs et autres des
différentes administrations. Des citoyens qui ne comprennent plus pourquoi ce
sont toujours eux qui en font les frais.