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Drogue et toxicomanie, les tonneaux des Danaïdes Mazouzi Mohammed*
Où va le monde arabe ? Medjdoub Hamed
La révolte des sans-logis El Yazid Dib
Un brin de folie pour: la fête de l'indépendance Abed Charef
Drogue et toxicomanie, les tonneaux des Danaïdes M. M.
Diplômes, normes et syndicalisme Mohammed Beghdad
Effets d'illusion et corollaires mystificateurs Farouk Zahi
Strauss-Kahn, Gaza, Palestine, Grèce, Turquie? Brahim Senouci
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Sidi Bel-Abbès : Les infrastructures sportives en débat
par M. Kadiri
 Une rencontre s'est tenue dimanche à la bibliothèque « Paroles et
écritures » et a été consacrée à deux clubs de la ville, l'un à l'occasion de
son retour l'ex-ONACO, et l'autre en signe de
solidarité avec le CRBA (ex-Gambetta), en présence des Lacarne
Belaïd, Khelladi, Petit Abbès (USMBA 1956), d'ex-dirigeants tels Chambi et Benfeghoul, ainsi que d'anciens footballeurs comme Douina et Ghaouti. L'objet
principal de cette réunion avait trait au retard d'achèvement des travaux
entrepris dans les stades de la ville et dont l'homologation pose problème, «
Ce qui pénalise le football et la jeunesse locale » dira un des intervenants, Bennabi Abdelkader. Sidi Belabbès,
avec sa pléiade de clubs toutes divisions confondues, et hormis l'USMBA évidemment mieux nantie, souffre du manque
d'infrastructures. La plupart des clubs sont des SDF, et il ne faut pas
s'étonner si leurs joueurs n'arrivent pas à progresser. D'autres aspects
entravent l'évolution du football local et des comptes doivent être demandés en
ce qui concerne la gestion et la formation des petites catégories. Le vivier
local qui jadis faisait la fierté de la ville, semble tarir. La présence du
maire de la ville Miloua Hadri,
et du président de la commission des sports Talha Zouaoui, a été fort bien accueillie par les intervenants
dans la mesure où ces responsables se sont engagés publiquement à prendre en
charge les volets qui relèvent de leurs prérogatives. Quelques intervenants ont
fait un constat très significatif : « En 1962, la ville de Sidi-Belabbes
avait deux stades. En 2011, le nombre est le même alors que la population s'est
considérablement accrue.
De fait, le nombre de clubs et de
pratiquants est beaucoup plus important ». Ce constat ayant été admis, Miloua Hadri, gageons que cette
rencontre aura des suites positives.
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