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Drogue et toxicomanie, les tonneaux des Danaïdes Mazouzi Mohammed*
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La révolte des sans-logis El Yazid Dib
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Drogue et toxicomanie, les tonneaux des Danaïdes M. M.
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Strauss-Kahn, Gaza, Palestine, Grèce, Turquie? Brahim Senouci
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Logement: Des communaux en colère
par Houari Barti
 Dix années se sont déjà écoulées depuis le lancement en 2001 du projet
des 180 logements LSP destinés aux travailleurs de la commune d'Oran. Un projet
proposé par l'instance syndicale et soutenu par la commune à hauteur de 50.000
DA pour chaque postulant, pour aider ses travailleurs mal logés. Mais après 10
années d'attente, les souscripteurs n'ont toujours pas vu le bout du tunnel. Le
programme dont la réalisation est assurée par l'AADL,
est encore au stade de carcasse. Le site du projet, dont le taux de
concrétisation est évalué à environ 90%, est implanté dans la localité de Belgaïd, à la périphérie/est d'Oran, signalent les
bénéficiaires qui ajoutent que les futures unités d'habitation sont conçues en semi-collectif. L'opération est également soutenue par la Caisse nationale du Logement
(CNL), conformément aux procédures d'accès à cette formule du logement. Hier
encore, plusieurs souscripteurs se sont regroupés devant le siège de l'APC, à la
Place du 1er Novembre, pour exiger une prise en charge
urgente de leur dossier. «La patience a des limites et il est grand temps que
ce calvaire prenne fin,» affirment-ils. Ils dénoncent ce qu'ils qualifient de
«désengagement» du syndicat de la commune, qui est pourtant l'initiateur même
du projet mais aussi «la passivité» des services chargés de la réalisation et
du suivi du projet. Une attitude ajoutent-ils, qui a pris en otage 180 familles
qui se battent seules depuis des années pour bénéficier de leur droit. Les
souscripteurs rappellent avoir déjà versé les deux tranches de leur apport
personnel pour des logements dont le prix varie entre 1.460.000 et 1.650.000
dinars. Seulement vu le grand retard accumulé, précisent-ils, ce prix du
logement a été revu à la hausse en 2006 par le promoteur, à cause des hausses
des prix des matériaux de construction, tel que justifiée par l'AADL.
Un argument, que les souscripteurs
rejettent dans le fond et dans la forme, s'estimant «n'avoir aucune
responsabilité directe ou indirecte dans le retard des travaux. Les
souscripteurs défendent enfin leur droit de disposer de leurs logements, conformément
aux actes notariés qui leur ont été remis.
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