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Ni les
pleurs d'un enfant, ni les yeux larmoyants d'une maman, ni le regard perdu d'un
vieux au dos voûté, transi, en face des ruines de sa maison. Rien ne l'arrête.
Il persiste et signe ses horreurs devant un monde, une ONU dépourvus de tout
pouvoir d'action. Il s'en fout éperdument de l'humanité, du droit international
et de la morale de la guerre. Ça fait très longtemps que cela dure et aucune
institution, puissance, personne n'était capable d'arrêter sa démence
meurtrière. Son délire est sans fin. Tous, lorsqu'ils ne sont pas complices ou
complaisants, sont incapables de prendre des sanctions à son encontre.
Sa politique de décapitation des leaders politiques et chefs guerriers, sa ténacité à plus de bombardements de civils, plus de destruction n'ont rien apporté. Il misait sur la disparition, l'élimination, la mort de tout brin humain palestinien criant liberté. De tout désir d'être digne chez soi et vaillant en face. Plus de 13 mois et aucun otage n'est libéré. Certes les capacités offensives de Hamas ou de Hezbollah ont reçu de sérieux coups de butoir. Mais pas leur volonté à continuer le combat. C'est une turpitude de croire qu'ôter l'âme à un, à deux, à trois hommes c'est pouvoir l'ôter aussi à un peuple, à une nation, à un espoir. Bien au contraire, tant que la répression augmente, la riposte se solidifie et la conviction se fortifie. A chaque acte de défense accompli par autrui, il trouve un motif supplémentaire pour accroître ses attaques. Le Liban, pourtant considéré comme étant sous protection de la France ou allié privilégié dans la région, n'a pas fait réagir cette France, qui l'on dirait prendrait peur de ce barbeau sanguinaire. Personne ne pourra l'arrêter. Le vieux schnock Biden ne verra pas le feu qu'il a attisé cesser, à la fin de son équivoque mandat. Même si l'occasion, de l'avis de tous ses partenaires est favorable pour sceller l'arrêt des hostilités; il ne lui fera pas cet «honneur», par enjeu électoral. Attend-il, pour s'arrêter, la capitulation de la résistance sur tous les fronts ? La remise de ses armes et bagages ? Le drapeau blanc que lèveront tous les «terroristes» ? La fuite vers l'extérieur de tous les chefs? Quel fantasme ! Je ne pense pas que ce jour est à l'ordre du jour de ceux qui ne savent que mourir et ce depuis longtemps. Je ne pense pas qu'il aura cette gloire et pourra s'en réjouir. Il n'a qu'une tête de mort, qu'un faciès de fasciste qui ne connaît la fête que dans les orgies macabres, que dans les festins démoniaques. Mais je sais qu'il va encore continuer le crime à satiété jusqu'au jour où le soleil finira par vaincre les ténèbres et la lumière éteindra l'obscurité. Je n'ose même pas citer son vomi nom. La nausée. |