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«Nous vivons le calvaire au niveau de nos routes et ruelles poussiéreuses
en été et qui se transforment en un véritable bourbier en hiver», dit avec
amertume un citoyen de la cité des 40 logements de la ville d'Aïn Tarik, chef-lieu de daïra situé à l'extrême sud-est de
la wilaya de Relizane. L'état lamentable et de dégradation
des artères touche aussi les quartiers de Ghazza, Chteibo, Ouled Hamadi et cette situation
dramatique date des années 80, indique un autre citoyen. Les riverains vivent
le cauchemar durant les saisons estivale et hivernale et attendent depuis des lustres
des projets d'aménagement urbain qui peuvent changer leur cadre de vie et les
extirper de cette situation de marasme.
Une femme rencontrée dans la cité des 40 logements déplore cet état des lieux en tonnant : «nos enfants sont obligés de porter des bottes en plastique contre la boue pour pouvoir rejoindre leurs écoles ou même pour sortir jouer et cette incommodité nous pénalise depuis des décennies». Les autorités locales et de wilaya sont interpellées pour l'inscription de projets dans la perspective de procéder au revêtement des différentes routes délabrées de cette ville si paisible. |
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