Profitant de la rareté des chèques secours au niveau des bureaux de
poste, des écrivains publics ont fait des photocopies de ces imprimés et les
revendent à ceux qui veulent retirer de l'argent pour des différentes sommes.
Ayant été informés de cette pratique, les services de la 4ème sûreté
urbaine entamèrent une enquête au cours de laquelle ils découvrirent ces
imprimés soigneusement dissimulés sous les tables qu'utilisent ces écrivains
publics pour leur travail. Présentés à la justice, les deux mis en cause ont
été cités à comparaître directement à l'audience.