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Après les deux finales U18 et U20, le stade Ahmed Zabana
sera le théâtre de la troisième finale, considérée comme l'affiche de cette
journée footballistique juvénile et qui mettra aux prises le Mouloudia d'Oran, finaliste en 2014 et vainqueur en 2015, à
l'ASMO. Les conditions d'avant match s'annoncent favorables au MCO par rapport
à l'ASMO, mais attention, ce ne sont là que des données théoriques, car la
réalité du terrain est tributaire de certains paramètres que personne ne peut
maîtriser notamment dans une finale. L'entraîneur Chérif El Ouazani
Moulay a été limogé, un coup dur pour les Asémistes à
une semaine de la finale, de surcroît face à leurs voisins du MCO. Sur le plan
de la hiérarchie, les Oranais du Mouloudia semblent
mieux lotis que leurs adversaires de l'ASMO. En effet, en championnat, le MCO
occupe la seconde position derrière l'ESS avec la troisième attaque et a
remporté la bagatelle de seize rencontres jusque-là. Par contre, l'ASMO est
classée à la sixième place en Ligue 2 avec dix victoires en 29 matches joués,
l'attaque s'avérant comme le maillon faible de l'équipe. C'est dire que le MCO
part avec les faveurs du pronostic avec toutes ces données et, surtout, avec
l'apport de son public. Toutefois, les gars d'El-Hamri
ne doivent pas tomber dans le piège de l'excès de confiance, du fait que les Asémistes possèdent des qualités individuelles non
négligeables. En tout cas, Djamel Bekadja affirme
avoir pris toutes ses dispositions face à son collègue asémiste
Belhadj Abdelghani. Pour le MCO, il s'agira de
rééditer le coup de 2015 afin de remporter son deuxième trophée, tandis que
l'ASMO visera sa première consécration dans cette catégorie. Il y a tout lieu
de s'attendre à un suspense entre deux formations dont la rivalité est longue
de plusieurs décennies et toutes deux avides de suprématie.
Aujourd'hui à 17h00 MCO-ASMO |
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