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Aïn-Temouchent: 38 postes doctorants ouverts au centre universitaire

par Mohamed Bensafi

Le centre universitaire Belhadj Bouchaïb d'Aïn-Temouchent (CUAT) ouvre, au ti tre de le prochaine année universitaire 2016-2017, trente-huit (38) postes doctorants dans un concours d'entrée au 3ème cycle du LMD, et ce dans cinq formations, a indiqué Belabbès Bouterfès, chargé de la formation Post-Graduation, de la recherche et des relations extérieures, contacté ce mercredi. Il s'agit là des postes ouverts selon le principe du concours duquel le vice-rectorat du CUAT a obtenu le feu vert de la commission régionale chargée de la formation supérieure de post-graduation, de l'habilitation universitaire et de la recherche scientifique. Cette offre, bien que s'adressant à tous les diplômés en master, autrement dit les détenteurs d'une licence en plus de deux années de master, est, par contre, extrêmement sélective, puisque ne seront finalement retenus que les candidats d'un cursus universitaire exemplaire. C'est ce qui caractérise justement le système LMD, lequel se base sur le tri des étudiants les plus compétents à travers l'examen de tout le parcours universitaire. Les candidats au doctorat devront par la suite passer l'étape de l'épreuve écrite. En conséquence, les candidats retenus concourront pour les 38 postes de doctorat ouverts dans les domaines suivants : Langue arabe (10), Littérature arabe (10), Sciences Économiques (09), Génie Électrique (04) et enfin Génie Mécanique (05), a précisé notre interlocuteur. Les postulants ne tarderont pas à être fixés sur leur sort puisque le concours est prévu le 8 octobre prochain alors que la période des dépôts des candidatures sera ouverte du 04 au 20 septembre courant. Les candidats non retenus disposeront d'un délai d'une semaine pour introduire un recours auprès de la direction du Centre, a-t-il souligné aussi. A rappeler que le doctorat est le plus haut diplôme universitaire d'une durée minimale de trois ans (six semestres). Il couronne des études en licence (3 ans) et en master (2 ans), soit huit ans d'études au moins. Enfin, espérer décrocher le titre de docteur d'État exige à tout postulant à travailler dur, à partir du jour où il entre à l'université, car le moindre relâchement verra, inévitablement, son rêve s'évaporer.