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L'attrait des IDE : un constat d'échec

par Rahim Kermoun *

La politique d'attrait aux investisseurs étrangers, qui jusqu'a ce jour n'attire que des fonds d'investissements de certain pays du golfe; des fonds spéculatifs dans la forme avec des projet de dupes dans le fond, aux intentions douteuse, Le cas du pavillons national La CNAN n'est qu'un exemple à méditer, donc la politique prôner jusqu'ici pour attiré les investisseurs étrangers à échouer, et les raison de cet échec sont connu. Partout ailleurs dans le monde ; investisseurs et industriels cherche avant tout une réglementation flexible ; et dans le contexte économique actuel; qui est difficile partout ailleurs beaucoup de pays procèdent déjà à l'allégement des procédures, pour encourager l'accès des investisseurs, des allégement qui touche surtout la fiscalité et toutes les dispositions qui facilite l'implantation, la production, et l'exportation aux investisseur potentiel bien évidement porteurs de projets et créateurs d'emploi et de richesse.

Notre pays jusqu'ici n'a pas attiré autant d'investisseurs que le Maroc voisin; qui est pourtant dépourvu d'atout que nous avons amplement comme la compétence et les matières premiers nécessaire au industries comme l'énergie par exemple, la recette de nos voisin marocains est simple qui est en faite une réglementation flexible et des garantie d'appui dans toutes les démarche allant de la production jusqu'a l'exportation.

Le Gouvernement actuel doit impérativement appréhender avec rigueur et pragmatisme les défis imposé par la chute des cours du baril du pétrole, qui sont toujours en baisse et toutes les indices ;endogène et exogène; prédissent cette tendance pour du long terme, ce qui induit des déficits budgétaires très significative à long terme ;qui sera très contraignante au maintient même d'une stabilité social très fragile avec une marge de manœuvre rétrécit que seul une stratégie fiable et audacieuse peut prémunir le pays d'asphyxie financière et le recours à l'endettement avec toutes les conséquences qu'on sait déjà.

Pour être plus claire et malheureusement, nos dirigeant sont en manque de visibilité en ce qui concerne l'état actuel de notre économie, des projets industriel et agricole qui tarde à se réalisé ou qu'ils ne se réalisent jamais, faute d'une réglementation attrayante pour encourager les porteurs de projets qui veulent s'implanté a long terme dans notre pays .d'ailleurs on a qu'a constater le résultat des différente dispositions précédente et actuel, très contraignante, qui décourage toutes tentative d'investissement et d'implantation des productions et services hors hydrocarbure ;hormis bien sûre des créneaux a forte valeur ajoutée et aux profits certain comme celui du secteur bancaire et la production pharmaceutique qui génère des profit colossaux.

Constamment les exécutifs en place procède à des réglementations qui aillent a l'encontre de la logique économique et de ses fondamentaux, mais surtout peu sensé et dénué de toute stratégie claire pour encourager l'implantation à long terme d'une respectable assise industriel qui absorbera une demande intérieur en constante augmentation et prétendre à l'exportation d'une façon du moins significative.

Des indices peu reluisant pour des lendemain de disette, financière bien sure, toutes les avis d'experts se concorde pour dire haut et fort que le temps des bricolages est révolu, et que les stratégies économique hasardeuse n'engendre que complexité de l'état lamentable de nos capacités a s'affranchir de la manne des hydrocarbures ;des reforme structurelle s'impose pour faire face à une baisse drastique des recettes des hydrocarbures.

* Ecrivain