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EL-TARF : Les aménagements urbains et leurs contradicteurs

par A. Ouelaa

Non pas ceux qui voient d'un bon œil tout ce qui est positif et l'apprécient à sa juste valeur, des gens simples qui n'aspirent qu'à un mieux vivre. Ces derniers constatent que ce qui n'était que chimère est devenu réalité, avec une métamorphose totale de leur cadre de vie. C'est ainsi qu'ont été relégués, aux calendes grecques, fange et gadoue, réseaux d'évacuation des eaux pluviales désuets, routes et accès dépassés par le temps, rues et ruelles devenant dangereuses la nuit, en l'absence d'éclairage public, ou le manque de bancs pour se reposer.

De même ces belles choses que l'on peut admirer comme ces jets d'eaux et placettes aménagées, sans oublier ces palmiers nains ou géants qui parsèment boulevards et avenues.

La région, depuis longtemps à la traîne, en matière de développement et d'amélioration urbaine, avait fait remarquer le Premier ministre, lors de sa récente visite fait qu' El Tarf, frontalière avec la Tunisie et que traversent des centaines de milliers de touristes, est une façade du pays qui se doit d'honorer ses visiteurs et passagers.

Mais cela, ne semble pas être du goût des partisans de l'inertie et les adeptes de l'intox qui continuent à distiller leur fiel, dans l'ombre, bien sûr, manipulant à souhaits, ceux qui les écoutent, parfois en totale méconnaissance des choses, et ce, à chaque fois que leurs intérêts sordides sont contrariés.

Ces gens que beaucoup connaissent, ont leurs oreilles et leurs yeux dans de nombreuses administrations, comptent parmi eux des représentants d'entreprises «boiteuses, dont des opérations ont été, justement résiliées, abhorrent la concurrence loyale et donc n'arrivent pas à décrocher, quoi que ce soit; des gens qui font dans l' entrepreneuriat avec la cornemuse.