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Il
ne sert à rien de couper le cheveu en quatre à zéro. Les professionnels du
sport roi, sont venus jouer. Grands professionnels qu'ils sont, il ont joué au
lieu de travailler. Ils nous ont ainsi prouvé que ce n'est pas en dégageant des
fonds pour une conjoncture, qu'on réglera le problème de fond. Car
effectivement, ce qui manquait aux onze kouara, c'est
le fond, le fond de jeu. C'est-à-dire le travail. Et ce n'est pas en
rassemblant des jeunes aussi talentueux, individuellement soient-ils, que l'on
peut créer une équipe homogène. Mais que pouvions-nous attendre du coach qui, à
quelques jours de la rencontre déclare qu'il avait préparé «un fakh à l'équipe adverse, au lieu de nous éclairer sur le
travail qu'il entreprenait. L'entraîneur marocain, lui, avait dit que la
défaite enregistrée chez nous, lui a permis d'étudier les points forts et les
points faibles de notre EN d'importation, sans crédit documentaire. Autrement
dit le nôtre parle de piège qu'il préparait au moment où l'autre opposait le
savoir et la connaissance. Quand on sait aussi que parmi le staff, il y avait
un «raqi» pour une roqia
générale pour l'EN?
On apprend qu'il a démissionné, l'entraîneur. Est-ce suffisant ? Non ! Il doit rembourser. Et ce sont tous les responsables du sport roi qui doivent faire la même chose. Sauf s'ils nous prouvent que nos jeunes importés, on été contaminés par la bactérie du concombre, lors de leur regroupement en Espagne qui a coûté beaucoup d'argent au pétrole du contribuable. Ils pensent aujourd'hui à un technicien serbe ou à Madjer? comme si ces deux personnes ont, en leur possession une khatem Soulimane pour composer une équipe qui gagne. L'équipe qui gagnera, ya elmoumnine, c'est celle qui commencera dans les écoles de formation algériennes. Elle pourra scander one two, tree, four. Et tant que l'école, ça ne va pas, rien ne sera fort. |
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